But de ce blog

Transmettre des informations sur les maladies, la pollution, et surtout sur la santé.


lundi 1 août 2022

Médicaments à fuir comme la peste

Faut-il revoir la définition du mot « médicament » ?

Quand je vois la nocivité de certains, je me demande si leur but est vraiment d’améliorer notre santé.

Parmi ceux-ci, j’ai sélectionné pour vous les 5 médicaments les plus dangereux, ceux qu’il faut éviter autant que possible.

Bien sûr, je vous donne aussi des alternatives 100 % naturelles, et garanties sans effets secondaires.

1. La pilule préférée… des suicidaires

La méthode la plus utilisée par les personnes qui veulent se suicider, c’est l’ingestion de paracétamol.

Il faut dire que le paracétamol est l’un des médicaments les plus vendus, et aussi l’un des plus mortels :

Chaque boîte contient une dose létale de paracétamol.

C’est la première cause d’hospitalisation pour insuffisance hépatique aiguë, qui nécessite une greffe de foie… Une étude d’observation menée en Grande-Bretagne dans un service de transplantation du foie a montré que 66 % des patients avaient été admis à la suite d’une overdose de paracétamol.

Pour éviter d'en arriver là, il est donc indispensable de prendre quelques précautions.

Paracétamol ne devrait pas rimer avec alcool

Le paracétamol ne doit jamais être utilisé lorsque le foie est fatigué : par exemple après une soirée arrosée, ou en parallèle à d'autres traitements nocifs pour le foie (les statines, par exemple).

Les doses maximales utilisables devraient également être revues à la baisse : une méta-analyse montre que les personnes qui prennent du paracétamol aux doses conseillées (0,5 à 1 g toutes les 4 à 6 heures) voyaient une augmentation de 23 % du risque de mortalité. Ce risque grimperait même à 63 % si les patients ont plusieurs prescriptions rapprochées dans le temps.


2. Deux fois plus d’infarctus avec ce médicament

Dans la famille des antidouleurs, les AINS ne font pas beaucoup mieux que le paracétamol.

Ils sont peut-être moins toxiques pour le foie que le paracétamol, mais ils le sont beaucoup plus pour les reins…

Et pire encore : on sait depuis 2005 qu’ils multiplient par deux le risque d’infarctus du myocarde.

En mai 2013, The Lancet, une des revues médicales les plus réputées au monde, a publié une méta-analyse de plusieurs études sur les risques des AINS.

L’étude a montré que la fréquence des accidents cardiovasculaires est 30 % plus élevée chez les consommateurs de coxibs et de diclofénac.

L’ibuprofène augmenterait également le risque dans une moindre mesure. Quant au naproxène, il augmenterait davantage les problèmes intestinaux (perforations, obstructions, saignements) que les autres AINS testés.

Mais ce n’est pas tout : les AINS ont encore d’autres effets secondaires, peu ou pas évoqués : dépendance, perméabilité intestinale, ralentissement du développement musculaire…

Soulager la douleur par le toucher

Pour vous aider à soulager la douleur autrement, je vous donne un aperçu des meilleures approches naturelles validées par la littérature scientifique :

  • Cervicalgies : les techniques de massage soulagent nettement la douleur à court terme, en plus d’apaiser l’anxiété et d’améliorer la qualité de vie.
  • Migraines et céphalées sévères : la relaxation est la technique la plus efficace pour espacer la fréquence des crises et diminuer l’intensité des douleurs.

3. Comment doubler votre risque de mourir

Avec les somnifères, il ne faudrait jamais dépasser 4 semaines de traitement.

Mais en pratique, ces recommandations sont rarement respectées.

Conséquences : amnésie, perte de conscience, troubles de la mémoire, dépendance, etc. Les somnifères pourraient même accélérer l’évolution d’Alzheimer si la durée du traitement dépasse six mois.

Une étude parue dans le British Medical Journal vient de montrer que les somnifères peuvent multiplier par deux le risque de mourir chez les consommateurs plus ou moins réguliers.