But de ce blog

Transmettre des informations sur les maladies, la pollution, et surtout sur la santé.


lundi 4 décembre 2023

L'eau du robinet est-elle potable ?

 Comment ont-ils fait pour nous faire boire ce déchet toxique sans impunité ? 

Tout a commencé à la fin du 19ᵉ siècle lorsque la famille Mellon dirigeait le cartel de l’aluminium ALCOA. 

Ils faisaient beaucoup d’argent, mais un problème persistait… L’industrie de l’aluminium produisait des fluorines. 

Pour information, les fluorines sont des agents pollueurs importants des fleuves et des rivières. 

Pour éviter de payer leur traitement qui aurait coûté une fortune. 

Ils ont eu la merveilleuse idée de les vendre à notre gouvernement pour nous rendre dociles et nous contrôler. 

Mais pour que cela passe incognito aux yeux de la population, il fallait leur trouver des avantages. 

En 1940, l’institut aux ordres d’ALCOA a publié un rapport certifiant que le Fluor est un élément permettant aux dents d’être plus résistantes à la carie. 

Suite à ça, ils ont pu en mettre dans l’eau de notre robinet et dans nos dentifrices.

Si vous me prenez encore pour un fou, lisez ce qui va suivre… 

Le Fluor était utilisé en forte quantité dans les camps de concentration pour rendre docile.

Le chimiste Charles Perkins dit que des doses répétées de fluor réduisent les possibilités d’un individu à résister à la domination en empoisonnant, par narcotisme, une partie précise de son cerveau.

Il était également utilisé dans la composition de la mort-aux-rats.  

Et une étude de Toronto a démontré que le Fluor est responsable de la fragilisation des dents et de l’apparition de taches sur l’émail. 

Sans oublier qu’il rendait les os fragiles. 

En France, la fluoration volontaire de l’eau du robinet n’est plus pratiquée depuis la fin des années 80. 

Cependant, le Fluor n’a pas disparu… 

Bref commentaire de Pierre : Vivement le ciel !

mardi 24 octobre 2023

GLYPHOSATE : NON À 10 ANS DE PLUS !!!

 

lundi 2 octobre 2023

Votre corps est (peut-ètre) une poubelle !

 Désolé de vous le dire : votre corps est une… poubelle !


L’environnement dans lequel nous vivons n’est pas celui de nos ancêtres : pollution de l’air, matériaux toxiques, médicaments, perturbateurs endocriniens… 

Sans compter notre alimentation moderne bourrée d’additifs, pesticides, métaux lourds… 

Et ça ne concerne pas seulement les produits industriels. 

Aujourd’hui, il n’y a plus un seul légume, fruit ou poisson qui ne contienne des métaux lourds. À titre d’exemple, une seule poignée de carottes peut contenir jusqu’à 400 mg d’aluminium. 

À chaque fois que vous avalez une gorgée d’eau du robinet, vous ingérez du fluorure de sodium et de nombreux autres polluants. 

Dans un appartement, on recense jusqu’à 900 substances chimiques : produits de nettoyage, retardateurs de flamme, traitement chimique du mobilier… 

Nous nous polluons quand nous mangeons, quand nous buvons, quand nous respirons, quand nous dormons… 

Personne n’est épargné. 

Même les écolos qui mangent bio sont contaminés

En début d’année, l’association Générations futures a fait une découverte effarante. 

Elle a voulu savoir si les plus grands défenseurs de la nature, les personnes qui ne mangent que du bio, étaient épargnés par cette intoxication générale. 

Ils ont donc analysé les cheveux de grands « représentants écolo » comme José Bové ou Nicolas Hulot. 

Verdict : 

Ils ont relevé entre 36 et 68 produits toxiques différents dans chaque chevelure… 

Dont 150 pesticides, 3 bisphénols, 13 phtalates et 32 types de PCB !! 

Si vous ne faites rien, ils vous tueront à petit feu

Notre corps n’est pas préparé à affronter tous ces polluants.  

Nos organes-filtres, les reins et le foie, sont complètement dépassés. 

Pire, si on ne les aide pas, ils finissent par se fatiguer et s’encrasser. Ils deviennent incapables de bien faire leur travail et d’évacuer correctement les déchets. 

Au fil des ans, les polluants s’accumulent… 

Et votre corps devient une décharge géante pour des milliards de détritus microscopiques. 

Ces substances toxiques s’enfouissent au fond de nos tissus et peuvent perturber l’ADN de nos cellules. 

Ce phénomène crée alors un terrain favorable pour de nombreuses maladies : Alzheimer, Parkinson, maladies auto-immunes, cancer et bien d’autres. 

On sait par exemple que : 

L’aluminium joue un rôle dans l’apparition des pertes de mémoire, la maladie d’Alzheimer et d’autres troubles neurodégénératifs comme la maladie de Parkinson. Au quotidien il peut aussi être responsable de nausées, gastrites, ulcères de l’estomac… 

Le plomb fait partie des polluants les plus dangereux. Ce neurotoxique est impliqué dans de nombreuses pathologies, même à faible dose. Il diminue les capacités mentales et cognitives et peut causer l’insomnie et parfois même des délires. 

Les perturbateurs endocriniens détraquent notre système hormonal et seraient responsables de cancers du sein et de la prostate. 

Etc. 



dimanche 20 août 2023

Bienfaits de la vitamine D

Voici les principaux bienfaits de la vitamine D : 


Au-delà de 30 ng/mL, la vitamine D diminue votre risque de fracture, en particulier chez les femmes de plus de 65 ans concernées par l’ostéoporose ; 

augmenter votre taux de vitamine D de 12 ng/mL à 52 ng/mL fera baisser fortement, ou très fortement (plus de 50 %), votre risque de cancer du côlon, du sein, des ovaires, de la prostate et de la peau (mélanome) ; 

au-delà de 40 ng/mL, la vitamine D réduit votre risque d’infection respiratoire ; 

enfin, la vitamine D peut prévenir les maladies auto-immunes, en particulier la sclérose en plaques et le cancer. 

Comment augmenter mon niveau de vitamine D

Si vous êtes en dessous de 30 ng/mL, il faut corriger le problème en vous exposant au soleil à la mi-journée, aussi dénudé que possible. 

Si le climat ne vous le permet pas, comme en France actuellement, vous n’avez pas d’autre choix que de prendre un complément alimentaire de vitamine D. 

Prenez alors une dose allant de 1 000 à 5 000 UI par jour selon votre poids, votre déficit et votre mode de vie. 

Une personne de faible corpulence, en déficit modéré et s’exposant régulièrement au soleil aura, bien sûr, besoin d’une dose moindre qu’une personne de forte corpulence, en carence totale et ne s’exposant jamais au soleil… 

Sur le site du « Vitamin D Council », aux États-Unis, il est indiqué précisément combien prendre de vitamine D par jour pour chaque niveau de départ, et selon le niveau final que vous visez . 

Les personnes très carencées (moins de 10 ng/mL) doivent prendre 10 000 UI par jour. Cela représente plus de 20 fois les apports journaliers recommandés par les autorités de santé. 

Mais ne vous inquiétez pas : toutes les études ont montré que cette dose ne posait strictement aucun danger pour la santé jusqu’à 5 mois de prise quotidienne. Vous avez donc de la marge avant l’intoxication. 

Au bout de 4 mois, refaites une analyse pour savoir où vous en êtes. Selon votre corpulence et votre mode de vie, votre niveau de vitamine D ne remontera pas à la même vitesse. 

Votre budget vitamine D

Les analyses vous coûteront 30 euros par dosage, et je vous recommande d’en faire un chaque année, de préférence à l’automne. 

À cela, il faudra ajouter le prix des compléments en vitamine D. Il y en a pour tous les goûts, selon qu’ils sont bio ou non, sur huile animale ou végétale, en gouttes ou en comprimés, à prendre en une méga-dose ou quotidiennement. 

Le prix varie fortement. Ma préférence va à la vitamine D3 biologique sous forme de gouttes d’huile végétale à prendre quotidiennement. C’est la forme qui se rapproche le plus de la façon dont nous produisons naturellement la vitamine D par l’exposition au soleil. 

Selon votre préférence, votre budget ira de 20 à 40 euros maximum par saison allant d’octobre à avril (le reste de l’année, il est en principe possible de s’exposer au soleil suffisamment). 

À votre santé ! 

Jean-Marc Dupuis 

jeudi 22 juin 2023

La mort à la carte

 Puisque la mort à la carte est devenue exigible, il est bien naturel qu’un marché macabre se constitue dans un monde où le sacré n’a plus sa place et où la rentabilité financière est reine. Il est par conséquent inéluctable que les serviteurs de Mammon recourent à des « influenceurs » pour vanter les mérites de l’euthanasie. Des sociétés commerciales nous fourniront le mode d’emploi adapté à toutes les bourses. J’imagine une influenceuse avenante pour m’inciter à choisir la marque  Mourir en beauté qui vous promettra une mort joyeuse et festive. Sa concurrente, la société Sans lendemain, vous garantira une mort certaine, avec obligation de résultat et un service après-vente irréprochable si le résultat escompté n’est pas atteint. 

Nous aurons aussi la société au nom évocateur Mort subite, pour les personnes pressées de quitter ce monde. La compagnie Pour en finir aura pour cibles les nihilistes. L’entreprise Fermez-le rideau visera les artistes. Les agnostiques se dirigeront vers la société Monte là-haut voir si j’y suis. Et enfin, pour les déshérités, une filiale qui s’appellera Mort à crédit, se retournera sur vos ayants droit si vous n’avez pas de quoi régler par avance votre mise à mort. Bien entendu, tout cela se fera dans la dignité des personnes et un respect de l’environnement. Nous aurons une mort écocitoyenne. Voilà un métier d’avenir : influenceur pour l’au-delà, c’est joli n’est-ce-pas ? Souriez, vous allez mourir ! Tout est une question de mot. C’est tout de même plus attrayant que « le thanatophile » ou encore « l’assistant au suicide ».

Les influenceurs seront de deux catégories : il y aura l’influenceur public, soucieux du budget national, qui nous encouragera à faire un geste pour sauver la planète et les finances de l’État. En nous résignant au suicide assisté, ou en prévoyant notre euthanasie, nous serons montrés en exemple puisque nous ne coûterons plus rien à la société. Et il y aura les influenceurs du privé, qui, jamais à cours d’imagination pour attraper le chaland, nous octroieront des réductions si nous parrainons des candidats au suicide. Plus de quarante ans après l’abolition de la peine de mort, un nouveau bourreau moderne est né, au goût du jour, souriant, connecté, solidaire avec une méthode participative car le client suicidaire procèdera à la partie fatale, c’est-à-dire létale, lui-même. Quel progrès !



jeudi 1 juin 2023

Les psychotropes et les enfants !

 Selon un rapport du Haut Conseil de la famille, de plus en plus d’enfants vivent sous psychotropes


On sait que la France est grande consommatrice de psychotropes, mais ce qu’on sait moins, c’est que les mineurs constituent une part croissante des usagers. Le dernier rapport du Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge, adopté le 7 mars, pointe qu'en seulement sept ans, de 2014 à 2021, le taux de consommation chez les moins de 20 ans a augmenté de 50 % pour les antipsychotiques, de 60 % pour les antidépresseurs, de 80 % pour les psychostimulants (type ritaline) et de 150 % pour les hypnotiques et sédatifs !


Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA) vient donc de lancer une alerte opportune sur ces ordonnances de produits généralement destinés aux adultes, sur des cerveaux dont la plupart des zones n’arrivent à maturité que vers 25 ans. 

Nos enfants vont mal parce qu’ils sont probablement le symptôme d'un environnement sociétal, scolaire et familial de plus en plus dysfonctionnel : « Aujourd’hui, les dépressions commencent à s’observer chez des enfants dès 10 ou 11 ans, c’est nouveau. Quand ils sont en CE2, on a l’impression qu’ils vont entrer en prépa ! Il y a davantage de phobies scolaires, de harcèlement », note la pédopsychiatre Christine Barois (ibid).

Ajoutez à cela un pays qu’on ne leur fait plus aimer, divorces et familles recomposées, pression de conformité des réseaux sociaux et de leurs divers « influenceurs », angoisses sanitaires (Covid) ou écologiques (Greta Thunberg) surjouées, injonction débile de s’interroger sur son « genre » et même - un comble ! - de s’inquiéter de sa retraite... N’y a-t-il pas de quoi mettre en vrille le mental de certains ados et pré-ados ?

Cet univers mental adolescent a peu de chance d’être amélioré par l’accès facile au cannabis et à la cocaïne, au protoxyde d’azote (en vente libre) ou aux nombreux « nouveaux produits de synthèse » difficiles à combattre juridiquement car non répertoriés comme stupéfiants. La zombification de la génération alpha comme instrument de domination politique avait été envisagée, il y près d’un siècle, par l'écrivain Aldous Huxley qui, à propos de la liberté sexuelle, notait :

 « Le dictateur fera bien d’encourager cette liberté-là. Conjointement avec la liberté de se livrer au songe en plein jour sous l’influence des drogues, du cinéma et de la radio, elle contribuera à réconcilier ses sujets avec la servitude qui sera leur sort. » Huxley ne connaissait pas Internet...


Commentaire de Pierre : Quel gâchis ! Le seul qui peut nous délivrer de la peur et de l'angoisse, c'est Jésus Christ.

Il l'a fait pour moi comme pour des millions de personnes au cours des siècles, mais il est vrai que notre époque est particulièrement anxiogène.

Quoiqu'il en soit le Seigneur est notre seul secours dans la détresse, je vous conseille de lire la Bible, ou écrivez-moi : paix@orange.fr

mercredi 10 mai 2023

Attention !

 



Si vous n'en avez pas demandez-moi, et je vous en enverrai une en version numérique, gratuitement : paix@orange.fr 

mardi 4 avril 2023

Notre immunité

 Comment notre corps fait-il face au nombre invraisemblable d'agents infectieux venus de l'extérieur ? 

Comment reconnaît-il ce qui est à lui (le soi) de ce qui ne l'est pas (le non soi) ? 

Grâce au système immunitaire. Cet ensemble organisé et coordonné est le véritable ministère de la défense de l'organisme.

Premiers remparts

Depuis la peau, qui fait barrière avec le milieu extérieur, jusqu'aux cellules "tueuses" et aux anticorps, le corps possède tout un arsenal lui permettant de se protéger des envahisseurs.

Les éléments les plus importants de ce système sont la peau et les muqueuses. Les cellules y sont très étroitement juxtaposées, ce qui les rend imperméables aux agents infectieux. En s'interposant entre le milieu intérieur et le milieu extérieur, elles préviennent l'entrée de tout corps étranger. D'ailleurs, les personnes ayant perdu trop de peau, par brûlure, succombent à des infections.

Le long des muqueuses, du mucus englué dans des cils vibratiles permet d'enrober l'intrus puis de l'évacuer vers l'extérieur. Le corps possède également des systèmes de défense chimiques (pH par exemple, acide lactique) et biochimiques (enzymes, acides gras, flore intestinale...).

Défenses organisées

Il semble déjà bien paré. Mais ce n'est pas tout : car parfois, des envahisseurs pénètrent malgré tout, et il faut les déloger. Cette fois, ce sont les mécanismes de défense spécifiques qui prennent le relais. Capables de reconnaître le soi du non soi, ils se tiennent prêts à intervenir.

Mais comment distinguer ce qui appartient au corps de ce qui n'a rien à y faire ? Grâce à des récepteurs sur la membrane de ses cellules. En effet, chaque cellule de notre corps possède, enchâssée dans sa membrane, une sorte de carte d'identité faite de récepteurs (des protéines). Tout agent différent du soi est reconnu comme étranger par notre organisme. C'est ce non-soi qui déclenche une réaction immunitaire.


Commentaire

Cette merveille n'est pas apparue par hasard, mais a été conçue par DIEU le Créateur.

Si tu ne le connais pas encore, écris-moi, je peux t'aider à le rencontrer : paix@orange.fr

vendredi 3 mars 2023

Pourquoi est-il interdit de se faire tatouer?

 

« Et d’écriture de tatouage vous ne donnerez pas en vous », nous enseigne la Torah. D’où vient cette interdiction ? 


Que peut faire celui qui regrette ? Est-il vrai qu’avant d’enterrer quelqu’un ou coupe les tatouages de sa peau ? Enquête.

Au cours de ces dernières décennies, nous constatons que de plus en plus d’Israéliens, essentiellement des jeunes hommes et femmes, décident de se faire tatouer sur leurs corps des dessins, des symboles ou des lettres. Indépendamment de comprendre quel est l’intérêt de se faire tatouer selon les goûts d’une période rapidement dépassée, nous allons parler de l’interdiction explicitée dans la Torah « Et d’écriture de tatouage vous ne donnerez pas en vous » (Lévitique 19).

Quelle est la raison d’être de cette interdiction, pourtant il s’agit de notre corps et pourquoi ne pas en faire ce que nous voulons ? Au cas où notre corps est déjà tatoué, est-il important d’enlever ces symboles ? Est-il vrai qu’on n’enterre pas les défunts avec des tatouages et qu’on les coupe de leur chair ? 

 Tout d’abord, votre affirmation que le corps nous appartient, n’est pas vraie » explique le Rav Its’hak Fanger.

” Une personne n’a pas le droit de se blesser, parce que le corps n’est pas nôtre. C’est comme une sorte de voiture de location, un dépôt qui doit être restitué correctement.” 

Il existe même une question dans la Halakha concernant une personne désirant faire de la chirurgie plastique juste pour embellir son corps. Il n’y a pas de mal avec la chirurgie plastique pour quelqu’un qui le fait pour pouvoir se marier, mais s’embellir sans d’autre raison que la beauté physique est problématique.

Maimonide écrit sur les tatouages qu’ils sont l’habitude des nations païennes. Le peuple d’Israël doit se distinguer de l’ensemble des nations sur certaines choses, et sur celle-là aussi. Le culte du corps n’est pas une idée admise par notre tradition, et le judaïsme s’éloigne de ce concept. Le corps doit paraître respectable sans symboles qui le recouvrent».

 Cette interdiction at-elle une racine ou autre explication ésotérique ?

« Une fois qu’une personne fait un tatouage sur son corps, cela l’amène à une approche très physique, voire bestiale de ce monde. Cela perturbe la connexion propre et claire avec notre Créateur, en particulier quand il s’agit de dessins ou de symboles qui vont à l’encontre de toute sainteté ».

 « Que dire d’un tatouage qui a déjà été fait et que la personne regrette ? »

C’est une question traitée par les décisionnaires modernes. Il est apparent de nos sources  qu’il n’y a pas d’obligation de retirer ce tatouage car la Torah dit “Et d’écriture de tatouage vous ne donnerez pas en vous”, en d’autres termes, l’interdiction porte sur l’action de tatouer. Après, il n’est pas nécessaire de retirer le tatouage, parce qu’on ne transgresse pas une interdiction à chaque instant. Cependant, tous les décisionnaires s’accordent à dire qu’il convient de faire enlever ce tatouage car il rappelle constamment une faute commise dans le passé.

Puisqu’il est interdit de se faire tatouer car c’est une blessure dans notre corps, comment retirer ces inscriptions puisqu’il y aura à ce moment aussi une blessure ?

Certain de nos sages  expliquent que l’interdiction de se blesser ne concerne pas ceux qui le font pour se repentir. Dans tous les cas, cette opération peut se faire sous anesthésie. Bien sûr, l’interdiction de se blesser n’est pas la seule raison qui interdit les tatouages, si c’était le cas, les tatouages seraient autorisés sous anesthésie. Les raisons de l’interdiction du tatouage sont variées, et le fait que la Torah réprouve cette conduite exclut totalement cette idée, même si la liste des explications que nous avons rapporté n’est pas exhaustive ».

Qu’en est-il de quelqu’un qui travaille dans un studio de tatouages, transgresse-il une interdiction, ou seulement la personne tatouée ?

« L’interdiction s’applique même sur celui qui tatoue les autres. Son cas est même plus grave, car il transgresse en plus de l’interdiction du tatouage le verset « devant un aveugle, tu ne mettras pas d’embûche ». C’est plus grave encore que de se tatouer soi-même.

   Doudou Cohen

 

mardi 31 janvier 2023

Le scandale du pain moderne

    Bourré de gluten, de farines hybrides, de levure chimique, le pain industriel est devenu l’ennemi n°1
de la santé, le premier aliment interdit dans les régimes !! On y trouve même parfois des traces de glyphosate (Round’Up) ! 

    Le pain moderne est accusé de provoquer des problèmes digestifs, des allergies, de l’eczéma, de rendre l’intestin poreux, d’aggraver les maladies auto-immunes, le surpoids, le diabète, la dépression.

Comment en est-on arrivé là ???

 Un pain qui ne va pas trouer vos intestins !

Autrefois, c’était le contraire.

Le pain était considéré comme l’aliment le plus sain. C’était l’aliment par excellence.

Ce pain des Hébreux, des Romains, de Charlemagne et de la paysannerie européenne jusqu’à Napoléon.

Ce pain qui permit aux peuples de résister à toutes les famines, les guerres, les épidémies pendant des millénaires, malgré l’absence d’antibiotiques.

“Trop cher de faire du bon pain” ?!

On nous dit que ce n’est plus possible.

Ce serait (soit-disant) trop cher de produire un pain fait avec des blés anciens, moulus sur une meule de pierre, avec du levain naturel et une cuisson traditionnelle... 

Mais c'est de la propagande.,,

Florent Cavaler