Le danger mortel au petit-déjeuner dont personne ne parle
- un café/thé
- des tartines margarine + confiture
- des céréales très sucrées avec du lait
- un jus de fruit
- et un yaourt...
Cauchemar sanitaire
Les hauts
fonctionnaires vous disent que ces aliments aident à bien démarrer la
journée. Alors vous êtes prié de remplir votre caddie et de consommer sans
rouspéter.
La vérité
c’est qu’ils ont intérêt à ce que vous ingurgitiez un maximum de ces
produits. Car leur préoccupation n’est pas que vous soyez en bonne
santé.
Ce qui les
intéresse c’est de soutenir leurs copains à la tête des grands groupes de
l’industrie du lait, des céréales transformées, des jus de fruit pleins de
fructose, du pain de mie sous plastique, des biscottes à l’amidon, des
margarines aux huiles végétales hydrogénées, etc
Leurs profits comptent plus que
votre santé
Ce n’est pas
agréable à dire, mais le seul but de ces hauts fonctionnaires du ministère de
la Santé est de finir dans les conseils d’administration de l’agroalimentaire
ou de l’industrie pharmaceutique, là où il y a vraiment de l’argent à se
faire…
Donc vous
saisissez que votre santé est loin derrière dans la liste de leurs soucis…
Une usine à obèses
Autant vous
le dire d’emblée : le « petit-déjeuner idéal » des autorités de
santé est un cocktail explosif de sucres rapides, de farines raffinées et de
graisses saturées.
Il n’y a
qu’à voir le teint poussiéreux des experts qui ont mis au point ces
recommandations.
Les sucres
rapides (surtout contenus dans le pain blanc, les biscottes, les céréales, les
jus de fruits et la confiture) vont faire monter le taux de sucre dans votre
sang beaucoup trop vite. Vous serez alors en état d’hyperglycémie.
Pour
contrebalancer cet excès, votre corps va sécréter de l’insuline, dont l’action
est propice au surpoids : l’insuline vous aide à absorber tout ce sucre,
mais ouvre également la voie aux graisses qui entrent dans vos cellules.
Mais ce
n’est pas tout :
L’insuline
provoque des réactions en chaîne qui vous font prendre du poids sans que vous
ne vous en rendiez compte.
Un incendie dans vos cellules
Le
petit-déjeuner classique ne se contente pas de vous faire prendre du poids. Il
favorise aussi l’inflammation. Le phénomène de glycation, conséquence du pic de
glycémie qu’entraînent les sucres rapides, fait partie des responsables. Mais
il n’est pas seul.
Les graisses
saturées et les graisses trans accroissent l’inflammation de votre organisme.
Le beurre, la margarine, les viennoiseries en contiennent amplement, de quoi
les bannir de votre petit-déjeuner.
Les acides
gras saturés, enfin, rigidifient les membranes de vos cellules – y compris de
vos globules rouges – et rendent votre sang plus visqueux. Un terreau plus que
favorable à l’apparition de maladies cardio-vasculaires…
L’arnaque du café
Je vais être
franc : le café n’a pas que des effets négatifs sur votre corps. Il
est même recommandé dans certains cas : par exemple, il est riche en
polyphénols qui aident à prévenir le diabète.
Dans ce cas,
pourquoi est-ce une arnaque ?
En fait, les
autorités sanitaires oublient de préciser que la caféine a une multitude
d’effets néfastes. Elle accélère le rythme cardiaque, élève la sécrétion
d’histamine dans l’estomac (puissant inflammatoire, déclencheur de la
production d’acide chlorhydrique). Et après le coup de fouet, elle accentue
la fatigue et le stress.
Nota bene : si
vous buvez plus de trois tasses par jour, vous vous exposez à de gros
risques :
- glaucomes,
- fausses couches,
- cancers de l’estomac et de la prostate…
L’arnaque
est d’autant plus flagrante que d’excellents substituts existent.
Votre corps
n’est pas en demande des mêmes nutriments selon s’il sort du sommeil, se trouve
au milieu d’une journée d’efforts, ou à l’approche du coucher. Savez-vous quel
macronutriment doit-être privilégié au petit-déjeuner ? Cette information
peut transformer votre quotidien : vous aurez de l’énergie à revendre toute la
journée, mais vous serez assez calme le soir pour vous endormir rapidement.
En dépit de
leurs conseils avisés et de leurs beaux discours, les pouvoirs publics n’en
disent rien. Ils ne vous donnent aucune clé pour composer votre petit-déjeuner
selon vos envies, sans compromettre votre santé et votre énergie.
Ne laissez pas vos endorphines vous
manipuler !
Les
endorphines sont des opiacés cérébraux qui procurent une sensation de
bien-être, et sur lesquelles jouent la publicité, les grands groupes et leur
marketing… En essayant d’associer leurs produits à des situations agréables ou
familières.
Ce sont
elles qui rendent le changement difficile. Le plus compliqué n’est pas de
savoir quoi changer, c’est d’agir concrètement. Défaire des habitudes, même
mauvaises, est une épreuve. Vous aviez votre confort, vos façons de faire, et
il faudrait tout recommencer ? Votre cerveau n’est pas d’accord. Même avec
toute la bonne volonté du monde, vous y opposerez inconsciemment une forme de
résistance, notamment due aux endorphines.
Les
habitudes sont des « niches affectives » qui jalonnent le quotidien
et lui donnent un aspect familier. Les nouveautés mettent environ trois
semaines à devenir des habitudes. Ensuite, elles déclenchent la sécrétion
d’endorphines à chaque fois qu’elles sont répétées.
Vous pouvez
agir sur la sécrétion des endorphines. Vous pouvez reprendre le contrôle sur
vos pulsions, changer vos habitudes et votre rapport à l’alimentation. Cela ne
requiert que la seule force de votre volonté, si vous déployez celle-ci avec un
peu de technique.
Protégez-vous contre les médias en
mal d'audimat
En effet,
pas un jour ne s'écoule sans que les médias n'annoncent un danger supposément
mortel dans nos assiettes ou nos étagères de salle de bain. Cependant, quand
vous apprenez du jour au lendemain qu'un produit utilisé depuis des dizaines
d'années sans inconvénient notable est soudainement déclaré comme un poison
dangereux à interdire immédiatement, il est indispensable de faire preuve
d'esprit critique.
Bien
souvent, derrière les gros titres des journaux, se cachent des agences de
communication et de « public relations », financées par
des lobbies industriels pour détruire des concurrents. Cela
peut aussi être des labos cherchant à vendre des vaccins. Ou tout simplement un
moyen pour les médias de faire plus d'audience.