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Transmettre des informations sur les maladies, la pollution, et surtout sur la santé.


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vendredi 13 mai 2022

L'obésité en Europe

 L’obésité est désormais « épidémique » en Europe, alerte l’OMS

Selon les dernières données disponibles, 59 % des adultes et près d’un enfant sur trois sont en surpoids en Europe. L’obésité, qui accroît les risques de cancers ou les maladies cardiovasculaires notamment, serait responsable de 13 % des décès annuels dans la région.

L’obésité en Europe est désormais « épidémique ». L’alerte a été donnée ce mardi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dans un nouveau rapport sur cette pathologie.

« Les taux de surcharge pondérale et d’obésité ont atteint des proportions épidémiques dans toute la région et continuent de progresser », déplore, dans un communiqué, la branche européenne de l’organisation. Sur le Vieux continent, près d’un quart des adultes sont désormais obèses, rendant la prévalence de l’obésité plus élevée que dans toute autre région, à l’exception des Amériques.

1,2 million de décès par an

Aucun pays de la région ne peut actuellement prétendre stopper la progression, et l’ampleur du problème s’est révélée avec force lors de la pandémie de Covid-19 où le surpoids était considéré comme une comorbidité. « L’augmentation de l’indice de masse corporelle est un facteur de risque majeur de maladies non transmissibles, notamment les cancers et les maladies cardiovasculaires », souligne le directeur de l’OMS Europe, Hans Kluge, cité dans le rapport.

Le surpoids et l’obésité seraient ainsi à l’origine de plus de 1,2 million de décès par an, représentant plus de 13 % des morts dans la région, selon l’étude. L’obésité est cause d’au moins 13 types de cancer différents et susceptibles d’être directement responsable d’au moins 200.000 nouveaux dépistages par an. « Ce chiffre devrait encore augmenter dans les années à venir », prévient l’OMS.

Les dernières données complètes disponibles, qui remontent à 2016, montrent que 59 % des adultes et près d’un enfant sur trois (29 % des garçons et 27 % des filles) étaient alors en surpoids à l’échelle de l’Europe. En 1975, à peine 40 % des adultes européens étaient en surpoids. La prévalence de l’obésité chez les adultes s’est envolée de 138 % depuis cette date, avec une progression de 21 % entre 2006 et 2016.

Effet délétère de la pandémie de Covid

D’après l’OMS, la pandémie de Covid-19 a permis de prendre la mesure de l’impact de l’épidémie de surpoids dans la région. Les restrictions (fermeture des écoles, confinement) ont parallèlement « entraîné une augmentation de l’exposition à certains facteurs de risque qui influencent la probabilité qu’une personne souffre d’obésité ou de surpoids », souligne Hans Kluge. La pandémie est à l’origine de changements néfastes dans les habitudes alimentaires et sportives dont les effets, durables, doivent être inversés, plaide l’OMS.

« Les interventions politiques qui ciblent les déterminants environnementaux et commerciaux d’une mauvaise alimentation […] sont susceptibles d’être les plus efficaces pour inverser l’épidémie », estime-t-elle. Il convient également, selon elle, de taxer les boissons sucrées, subventionner les aliments bons pour la santé, limiter la commercialisation d’aliments malsains auprès des enfants et plébisciter les efforts pour encourager l’activité physique tout au long de la vie.

LA PRÉVENTION COMME MEILLEUR MOYEN DE LUTTER?

Mais alors comment soigner cette maladie? « Le principe est simple : quand on prend du poids, c’est que l’on a un apport calorique plus important que ses dépenses. La solution théorique c’est de réduire les apports caloriques et augmenter les dépenses », explique Boris Hansel.

Si certains arrivent à modifier leur mode de vie et perdre du poids sur le long terme en marchant plus par exemple et en mangeant plus de légumes, d’autres ont plus de difficultés à changer radicalement: « Pour ces gens, il faut se faire accompagner. Et il ne faut pas céder aux régimes restrictifs en pensant perdre du poids rapidement et le maintenir ensuite: « Soit on arrive à modifier radicalement son mode de vie, ce qui peut être compliqué, soit vous avez des difficultés et il faut un accompagnement ».

Pour soigner l’obésité, l’OMS préconise davantage de politiques publiques de prévention. Car les actions actuelles seraient insuffisantes: « Il n’y absolument pas de prévention et d’information à la population générale sur cette épidémie non-contagieuse qu’est le surpoids et l’obésité », regrette Anne-Sophie Joly, présidente du Collectif national des associations d’obèses, qui déplore une « catastrophe » même si elle assure ne pas être « surprise ».

« L’EAU EST LA SEULE BOISSON NÉCESSAIRE »

L’OMS propose aussi de taxer les boissons sucrées: « On n’empêchera jamais Coca-Cola ou les autres producteurs de sodas à faire des boissons sucrées », tempère Pierre Azam, médecin spécialiste de l’obésité qui mise sur l’éducation. « Il faut apprendre aux enfants à ne pas boire de sodas et s’hydrater. Il faut que cela devienne pour eux culturellement nocif qu’une cigarette. Et ça c’est de notre responsabilité », ajoute-t-il, plaidant pour des cours de nutrition dès l’école.

Car les boissons sucrées sont presque ce qu’il y a de pire: S’il y a un aliment, une boisson qui fait du mal, ce sont les sodas », avertit aussi Boris Hansel. « L’eau, gazeuse si vous voulez, est la seule boisson nécessaire », précise-t-il alertant aussi sur les jus, « qui sont autant caloriques que les sodas ».

Jforum Les Echos    Source AFP et rmc.bfmtv.com

 




jeudi 14 avril 2022

Préserver vos neurones

 Mangez du bon gras pour préserver vos neurones

Votre cerveau est l’organe le plus gras de votre corps ! 60 % de sa matière sèche est de la graisse.

 Il semble donc logique qu’il ait besoin de gras pour être opérationnel.

Mais pas n’importe lequel : il se nourrit d’acides gras poly-insaturés : oméga-3 et 6.

Sans eux, le cerveau ne peut pas former des neurones ou encore assurer la croissance des synapses.

Si les oméga-6 se trouvent facilement dans notre alimentation (huile de tournesol, de pépin, de raisin, viandes…), les oméga-3 sont plus rares. Il faut les privilégier.

Surtout sachant que l’excès d’oméga-6 dans le corps s’oppose à la bonne utilisation des oméga-3. 

L’Anses préconise un ratio d’un oméga-3 pour 5 oméga-6.

Et ne négligez pas les oméga-3 car ils jouent un rôle clé dans l’entretien des membranes cellulaires cérébrales. 

Ils possèdent aussi une action anti-inflammatoire, anti-agrégation plaquettaire et anti-hypertension, bénéfique à la santé cérébrale.

Des chercheurs ont mis en évidence comment ces acides gras peuvent améliorer la capacité du système immunitaire à effacer les plaques amyloïdes du cerveau. Ces dernières représentent une des caractéristiques principales de la maladie d’Alzheimer.

Selon plusieurs études, de bons apports en oméga-3 pourraient retarder l’apparition de maladies neurodégénératives.

À l’inverse, les graisses saturées en excès (beurre, viandes grasses, charcuteries, fromages, produits transformés…) s’avèrent néfastes car elles augmentent le risque d’AVC.

Misez ainsi sur une alimentation riche en poisson gras en privilégiant les petites espèces (anchois, sardines, maquereau, hareng), moins polluées.

Pensez aussi à varier vos huiles : d’olive, de colza, de lin ou de noix (2 cuillères à soupe par jour). 

Choisissez-les vierge voire vierge extra.

Intégrez également une petite quantité (20 à 30 g) de fruits à coque (noix, noisettes, amandes).

Enfin, intégrez les oeufs à vos plats. Ils sont riches en oméga-3 et permettent aussi de varier les plaisirs.

Prenez les bio et qui respectent le bien-être animal (élevé en plein air).

Limitez les graisses d’origines animales.

Les graisses animales présentent le gros désavantage d’être riches en gras saturés qui en excès sont délétères.

Mais n’allez pas croire que toutes les graisses végétales sont constituées uniquement d’acides gras poly-insaturés.

L’huile de coco par exemple est riche en gras saturés. 

En alimentation, rien n’est simple et chaque aliment a ses particularités.

Ainsi, retenez qu’il faut limiter votre consommation de :

viandes grasses, charcuterie (préférez-les maigres ou dégraissées), beurre (10 g maximum par jour si vous en avez envie), fromage (30 g occasionnellement), produits laitiers : misez sur les demi-écrémés en priorité.



samedi 1 août 2020

LES PESTICIDES CHIMIQUES

IL FAUT EN FINIR AVEC LES PESTICIDES CHIMIQUES !



Officiellement, la défense de l’environnement est devenue LA PRIORITE des PRIORITES.

Sur les plateaux télévisés, les responsables politiques sortent les violons : « nous faisons le maximum contre les pesticides, nous allons interdire le glyphosate, protéger les abeilles,favoriser l’agriculture bio »…

Mais en coulisses, ils font EXACTEMENT LE CONTRAIRE.  Avec une mauvaise foi insensée…

Une multinationale allemande de l’agriculture chimique a même essayé de faire interdire…le bicarbonate de soude
3 !!!

Mais à quoi « jouent » ces gens ?

Que veulent-ils alors que l’horloge tourne, et que l’heure de l’urgence écologique a sonné depuis longtemps.

Temporiser. Gagner du temps. Comme l’ont fait en leur temps les industries du tabac ou de la malbouffe, avec l’appui des gouvernements.

Si nous n’agissons pas, combien de temps ce « petit jeu » va-t-il se poursuivre ?

Combien de temps vont-ils continuer à se dire « écolos » le matin, et à massacrer le vivant tout le reste de la journée ?  


Et l’explosion du nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ?

Et la maladie de Parkinson, qui est reconnue comme maladie professionnelle chez les agriculteurs depuis 2012, avec un lien de causalité établi entre cette maladie et l'usage des pesticides6 ?

Et la stérilité croissante de milliers de jeunes adultes, en particulier dans les régions agricoles7 ?

Et l’augmentation de malformations congénitales, comme ces bébés nés sans bras.

Et le nombre de cancers qui explosent ? Avec là-aussi des études qui soulignent une augmentation du cancer de la prostate de 40 % chez les hommes exposés au DDT et aux pesticides organochlorés9.

Il n’est pas tolérable que les autorités ne tiennent pas leurs engagements.

Car elles continuent en ce moment même à nous tenir un double discours :

Devant les journalistes, les responsables ont beau jeu d’évoquer le « monde d’après » le coronavirus…

Car en douce, le ministère de l’Agriculture vient d’autoriser que les distances de sécurité entre les habitations et les pulvérisations de pesticides soient réduites au minimum possible, dès le début de la saison des épandages
.


Le tout sans concertation, comme le prévoit pourtant la loi.

Aujourd’hui, il est donc autorisé de verser des pesticides jusqu’à trois mètres des habitations pour les cultures basses comme les céréales et les légumes !!!


TROIS MÈTRES !!!

Un peu plus et ce sera directement dans nos assiettes !!!
11 
 
Les mensonges, les petits arrangements doivent cesser.

Cette situation est d’autant plus scandaleuse qu’un nombre croissant d’agriculteurs font eux, de véritables efforts pour respecter le vivant.  

Car les études montrent que l’agriculture bio revitalise les sols et tout leur écosystème.

Les sols des fermes en agriculture biologique recèlent des quantités plus importantes de matière organique (vivante), estimées à 37,4 tonnes par hectare de carbone organique, contre 26,7 en agriculture conventionnelle
12.

Et plus le sol est vivant, plus il est fertile !  

L’agriculture bio favorise les prairies, le repos de la terre, la plantation de haies, la diversité des cultures.

Ces pratiques augmentent le nombre de plantes, d’araignées, de vers de terre, de coléoptères, d’oiseaux ou encore de mammifères.

Grâce à l’agriculture biologique, la Nature vit une véritable renaissance.

Et notre santé AUSSI :

  • Une étude parue dans le British Journal of Nutrition13  a ainsi montré que les produits issus de l’agriculture affichaient jusqu’à 50 % d’antioxydants en plus que ceux de l’alimentation conventionnelle, en particulier dans les fruits.
  • Une équipe de recherche Française de l’Inserm (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), vient de montrer que manger bio diminuait de 25 % le risque de cancer !

C’est la preuve ultime, s’il en manquait, que l’inaction publique ne doit plus être tolérée.


Il faut en finir avec les produits chimiques qui martyrisent la nature et nous rendent malades.


Gabriel Combris


vendredi 19 juin 2020

Le bon pain

Une miche de pain

  • Bourré de gluten, de farines hybrides, de levure chimique, le pain industriel est devenu l’ennemi n°1 de la santé, le premier aliment interdit dans les régimes !! On y trouve même parfois des traces de glyphosate (Round’Up) !
  • Le pain moderne est accusé de provoquer des problèmes digestifs, des allergies, de l’eczéma, de rendre l’intestin poreux, d’aggraver les maladies auto-immunes, le surpoids, le diabète, la dépression.

Comment en est-on arrivé là ???

Un pain qui guérit, au lieu de trouer les intestins !

Autrefois, c’était le contraire.

Le pain était considéré comme l’aliment le plus sain, voire sacré. C’était l’aliment guérisseur par excellence.

Ce pain qui permit aux peuples de résister à toutes les famines, les guerres, les épidémies pendant des millénaires, malgré l’absence d’antibiotiques.

Trop cher de faire du bon pain” ?!

On nous dit que ce n’est plus possible.

Ce serait (soit-disant) trop cher de produire un pain fait avec des blés anciens, moulu sur une meule de pierre, avec du levain naturel et une cuisson traditionnelle... 

Les blés anciens sont rares et précieux

Les blés anciens de Mésopotamie n’avaient que 14 chromosomes (contre 46 pour les blés hydrides modernes).

Ils poussaient sur des sols pauvres, sans glyphosate ni pesticides.

Surtout, ils ne supportaient pas les engrais. Ils produisaient aussi, c’est logique, dix fois moins que les blés actuels de la Beauce. Et les récoltes étaient soumises aux aléas du climat, des maladies, des rongeurs et des insectes.

Le blé était moissonné à la serpe, puis battu avec des fléaux en bois, enfin vanné à la main (pour séparer le grain de la bâle, c’est-à-dire l’enveloppe).

Le grain était moulu délicatement, sur de grandes meules de silex qui tournaient très lentement. Cela évitait d’échauffer le grain et produisait une farine grasse, pleine de nutriments (aujourd’hui, les moulins séparent les farines et suppriment le germe et le son).

Encore plus important, la farine fraîche était mélangée à une eau de source pure, sans chlore.

Le levain diminue les problèmes digestifs et les intolérances

Car en effet, le levain transforme la farine, l’eau et le sel, en une substance vivante et nourrissante

La fermentation est plus lente qu’avec la levure de boulanger : 36 heures contre 6 heures.

Cette fermentation réduit la teneur en gluten et en acide phytique (anti-nutriment) du pain. Elle permet donc de diminuer les problèmes digestifs et les intolérances.

Un bon levain donne au pain un goût acidulé délicieux, qui vient renforcer le goût brioché des farines anciennes comme le blé de khorasan, et réduit drastiquement le besoin de sel (le pain traditionnel contient 10 g de sel par kilo de farine, contre 30 g pour la baguette parisienne !!).

C’est ce patient travail qui permet au boulanger de faire un pain riche, nourrissant, à la mie serrée, et qui se conserve plus d’une semaine grâce à son taux d’hydratation plus élevé.

Jean-Marc Dupuis


vendredi 13 mars 2020

Coronavirus…


Pourquoi sommes-nous si surpris ?



L’Italie et la France connaissent actuellement une situation chaotique et préoccupante. Ce virus inquiète beaucoup d’entre nous. Mais nous entendons aussi parler de guerres, de rébellions, d’incendies, de catastrophes naturelles. 

Nous ne devrions pas être surpris, parce que la Bible nous avertit déjà de tout cela, en fait, Jésus a dit: «Quand vous entendrez parler de guerres et d’émeutes, ne soyez pas effrayés; parce que ces choses doivent se produire en premier; mais la fin ne viendra pas tout de suite. Il y aura de grands tremblements de terre, et dans divers endroits il y aura la famine et de graves maladies (ou épidémies)..." Évangile selon Luc chapitre 21 versets 9 à 11 (Traduction « Paroles de vie » ou « Bible juive complète »).  

Comme vous voyez cher ami, le Seigneur Jésus nous avait avertis de cette situation que nous vivons. Nous ne savons pas combien de personnes seront touchées par ce virus, mais une chose est certaine : "Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement" Lettre aux hébreux ch 9 v 27.

Cela signifie qu’après la mort, chaque être humain se présentera devant Dieu pour être jugés, et nous sommes certains qu’aucun de nous ne sera en mesure de résister devant le caractère sacré de Dieu. Aucun d’entre nous ne mérite la vie éternelle parce que "Tout le monde a péché et est privé de la Gloire de DIEU" Lettre de  Paul aux Romains ch 3 v 23. Mais heureusement pour nous, il y a une solution, pour ne pas avoir peur, trouver la paix, et être sauvé. 

Jésus a dit: «Je suis le chemin, la vérité et la vie, personne ne vient au Père, sauf par moi" Évangile selon Jean ch 14 v 6 et "Qui croit en moi a la vie éternelle" Évangile selon Jean ch 6 v 47. Avez-vous cette certitude en ce moment ? Si votre réponse est non, alors… Repentez-vous et confessez vos péchés à DIEU. 
Jésus a donné sa vie pour nous en mourant sur une croix.

"Si vous avez déclaré Jésus comme Seigneur et si vous avez cru de tout votre cœur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, vous serez sauvé." Lettre de Paul aux Romains ch 10 v 9 & 10 

PRÉPARE-TOI À RENCONTRER TON DIEU !

vendredi 18 octobre 2019

Stress !


Les chiffres font froid dans le dos.  😫
Ils trahissent une souffrance trop souvent ignorée par la médecine… et parfois même par les proches !

•    24% des Français se sentent “hyper-stressés” soit 15 millions de personnes.

•    47% des Français ressentent une fatigue fréquente qu’ils estiment due au stress.

•    Le stress est le 2ème problème de santé le plus répandu dans l’Union Européenne.

•    Même un heureux évènement comme la retraite est considéré comme le 10ème évènement de la vie le plus stressant.

•    Le stress chronique est source d’angoisse extrême qui conduisent parfois aux portes du suicide.
 
•    Or selon l’OMS, 800 000 personnes se suicident dans le monde chaque année. C’est plus que les guerres et les homicides réunis !


Commentaire :

Repentez-vous et changez de vie !
Faites une confiance totale au Seigneur Jésus et Il vous déstressera !
La Bible dit : "Déchargez-vous de tout vos soucis et Il prendra Lui-mème soin de vous ".  😀

mardi 13 août 2019

Que se passe-t-il dans le cerveau humain pendant la projection d’un film en 3D?



    « En fait, votre cortex pré-frontal, lequel est impliqué dans le contrôle des impulsions, des réflexions et décisions à venir ainsi que des choix moraux, est essentiellement inactif dans ce processus. Cela fait partie des raisons pour lesquelles vous êtes totalement « perdu » dans le film…. »

Conscient de la puissance des images et de la primauté des médias de masse comme source d’information et d’influence pour les jeunes, le Dr Rich se concentre sur les médias en tant que force qui affecte fortement le développement des enfants, la santé et le comportement. En 2002, il fonde le Centre sur les médias et la santé des enfants (SCHL), un centre interdisciplinaire d’excellence dans la recherche, les interventions cliniques, et l’éducation relative aux effets des médias sur la santé physique, mentale et sociale des enfants et des adolescents. Le Centre SCHL est en développement et évalue les interventions pour aider les enfants à se protéger des aspects négatifs des médias, tout en profitant de leur utilisation.

J’ai pris mon fils pour voir le film Avatar, et alors que j’étais assis là, avec des lunettes 3D, je me demandais si les scientifiques savaient quelque chose sur les effets du 3D et comment le cerveau des enfants gère le processus psychologique lors de l’expérience d’un film 3D?

Cette question va au cœur de ce qui est intéressant et excitant à propos des films en trois dimensions (3D). Soyez assuré que vos enfants sont aussi affectés que vous lors d’une expérience 3D. Pourquoi?

Parce plus le cerveau est lourdement impliqué dans la transformation sensori-motrice dans le système visuel, le moins d’énergie qu’il a pour d’autres tâches. Pour comprendre pourquoi c’est vrai, si vous regardez quelque chose d’une certaine distance de vous-même avec un seul œil, puis l’autre, il semblera se déplacer. C’est parce que vous synthétisez constamment les deux différentes images qui sont en deux dimensions (2D) à partir de vos deux yeux en une seule image 3D.

La façon dont un film en 3D fonctionne, c’est que deux images distinctes sont projetées à l’écran en 2D en même temps. Les lunettes que vous portez bloquent une image ou l’autre de sorte que chaque œil ne voit seulement que ce qui a été conçu pour lui de voir, ce qui aide ensuite votre cerveau à les combiner en une image 3D.

Alors qu’est-ce que votre cerveau fait lorsque vous êtes assis dans un cinema, en train de regarder un écran géant, avec des lunettes 3D, baignant dans le son surround, et une qualité vidéo de traitement des 24 images/seconde? Et bien, votre cerveau traite consciencieusement ces stimulis et ne fait absolument rien d’autre.

En fait, votre cortex pré-frontal, lequel est impliqué dans le contrôle des impulsions, des réflexions et décisions à venir ainsi que des choix moraux, est essentiellement désactivé dans ce processus. Ces faits font d’une expérience immersive d’un film 3D, une expérience qui peut être très agréable et aussi assez impressionnante. Cependant, pour les enfants, le traitement d’appoint que leurs cerveaux ont à faire peut les rendre plus vulnérables au contenu. En d’autres termes, si quelque chose dans un film 2D leur aurait fait peur, il serait probablement encore plus effrayant en 3D.

Mais la peur des enfants est un enjeu à considérer sérieusement avec n’importe quel film, et il est important de lire sur le contenu du film avant que vous alliez le voir, que ce soit en 2D ou 3D.

Michel Morin

mercredi 29 mai 2019

L'alcool en France


L’alcool est chaque année, en France, responsable de nombreux drames personnels, familiaux, sociaux, ainsi que de 49.000 décès ; ce dernier chiffre est dix fois inférieur à celui des personnes qui en vivent (vignerons, débitants, cultivateurs de houblon et de céréales pour le malt…).
Si la consommation d’alcool a baissé de moitié en une cinquantaine d’années, elle est encore de 11 litres d’alcool pur, en moyenne, par citoyen, soit 20 verres de vin (2 litres) par semaine. À côté des abstinents, il y a 4 à 5 millions de sujets « alcoolo-dépendants » (incapables de se passer un jour par quinzaine de toute boisson alcoolique). On dénombre parmi eux près d’un million de victimes de l’alcoolisme, cette maladie grave, voire très grave.

Cette baisse de la consommation d’alcool émeut les alcooliers ; aussi dépensent-ils 450 millions d’euros par an de publicité pour capter de nouveaux consommateurs. Ils piègent les jeunes avec les prémix ; les femmes avec le vin rosé, devenu vin « féminin ». À cela s’ajoute l’élévation du degré alcoolique des vins qui tend vers le plus haut niveau (15°) que supportent les enzymes de la fermentation alcoolique ; les bières connaissent aussi une inflation de leur degré alcoolique ainsi que du volume de leurs flacons (canettes de 33 cl plutôt que 25). 

Alors que le sport a constitué un des outils efficaces de la réduction de l’alcoolisation de nos jeunes, une députée LREM, madame Perrine Goulet, dans un rapport remis au Premier ministre, le 30 novembre dernier, voudrait revenir sur plusieurs dispositions de la loi Évin (bien sûr pas, se défend-elle, au nom des alcooliers, mais au nom du mouvement sportif que la loi Évin prive de revenus importants, estimés à 30 millions pour le seul football). Elle propose ainsi :

– de rompre avec la limitation, à dix manifestations par an, de la vente de bière par les buvettes d’un club ;
– de revenir sur l’interdiction générale de la publicité pour l’alcool à la télévision ;
– de revenir sur l’interdiction du parrainage des clubs sportifs par les alcooliers.
Elle se sert de certains mauvais exemples ayant cours ailleurs, ou de contournements de la loi effectués ici, pour rompre avec les pratiques plus vertueuses prônées par ce qu’il reste de la loi Évin, « détricotée » par des gouvernements successifs. 

Le sport est un élément de la prévention de l’alcoolisme. Réintroduire l’alcool sur les stades et renforcer sa présence dans l’esprit du public serait une aberration. 

Jean Costentin    Docteur en médecine

Commentaire de Pierre :
Il n'y a que le Seigneur Jésus qui peut et qui veut nous délivrer.
Lui seul nous donne une pleine satisfaction.
Lui seul peut et veut nous sauver de la condamnation.
Et c'est gratuit !