But de ce blog

Transmettre des informations sur les maladies, la pollution, et surtout sur la santé.


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jeudi 30 mai 2024

Notre flore intestinale est déséquilibrée

L’abus d’antibiotiques et l’alimentation industrielle ont bouleversé notre flore intestinale. 

Normalement, notre gros intestin (côlon) est habité par des milliards de « bonnes bactéries » qui nous protègent parce que : 

elles interdisent aux microbes agressifs de s’implanter ; 

elles forment une barrière qui empêche les organismes facteurs de maladie de passer dans notre sang ; 

elles achèvent la bonne digestion de nos aliments, permettant en particulier d’en extraire les vitamines B, acides gras, enzymes, en les faisant fermenter ; 

surtout, elles sont le pilier central de notre système immunitaire : les scientifiques estiment que la flore intestinale représente 80 % de nos défenses naturelles. 

Encore faut-il que les besoins de cette précieuse flore soient respectés. 

Nos bactéries ont besoin d’être nourries. Elles ont aussi besoin d’accueillir régulièrement de nouvelles bactéries amies arrivant de l’extérieur, via notre alimentation. 

Enfin, cette flore a besoin de ne pas être passée périodiquement au « Roundup » (produits antiseptiques et antibiotiques). 

Les antibiotiques sont le Roundup de nos intestins

Dès leur plus jeune âge, nos enfants sont massivement exposés à des traitements par antibiotiques et des désinfectants qui déciment leur flore intestinale. L’abus d’eau de Javel dans l’eau du robinet et de produits antibactériens pour se laver les mains constitue aussi une agression contre l’équilibre naturel de leur flore : « En utilisant un désinfectant, le délicat équilibre bactérien s’effondre. Un grand nombre de micro-organismes meurent, laissant la place à d’autres parfois plus virulents », explique Pascale Hanssens des hôpitaux Robert Schuman (Luxembourg). 

À force d’attaquer les bactéries nécessaires à notre santé, nous finissons par les faire disparaître, cédant la place aux mauvaises bactéries, qui se développent d’autant mieux et sont d’autant plus difficiles à combattre qu’elles n’ont plus de concurrence. 

D’où l’augmentation consternante des maladies provoquées par les bactéries et les champignons microscopiques : mycoses, candidoses, qui colonisent les muqueuses des populations des pays industrialisés, dans les intestins et très fréquemment aussi dans les zones génitales. 

La guerre aux « microbes » est donc en train de très mal se terminer… pour nous. 


Pour une question : paix@orange.fr


jeudi 14 mai 2020

La réaction chrétienne au coronavirus

Alors que nous continuons à lutter contre le coronavirus, remarquez comment les non-chrétiens de l’Empire romain mettaient l’accent sur la préservation de soi alors que l’église primitive insistait sur un service sacrificiel sans peur. Alors que les non-chrétiens fuyaient les épidémies et abandonnaient leurs proches malades car ils craignaient l’inconnu, les chrétiens, eux, rentraient au cœur des épidémies et servaient à la fois les chrétiens et les non-chrétiens, considérant leur propre souffrance comme une occasion de répandre l’évangile et de modeler l’amour à la manière du Christ.

Si la réponse non chrétienne à la peste était caractérisée par l’autoprotection, l’auto-préservation et l’évitement des malades à tout prix, la réponse chrétienne était à l’opposé.

 Comment pourrions-nous mettre en pratique cette attitude face au COVID-19, nous démarquant ainsi du reste du monde dans notre façon de répondre à l’épidémie croissante ? Peut-être pourrions nous commencer par résister à la peur qui mène à la panique dans divers secteurs de la société – en choisissant à l’inverse d’être un modèle de paix et de calme au milieu de l’anxiété qui monte tout autour de nous.

 Nous pourrions aussi chercher à servir nos voisins de manière sacrificielle en suivant prudemment les conseils des professionnels de la santé pour aider à ralentir la propagation de la maladie. Au lieu de nous préoccuper de notre propre santé seule, nous devrions donner la priorité à la santé de la communauté au sens large, en particulier des citoyens les plus vulnérables, en faisant preuve d’une grande prudence, sans entretenir la peur, l’hystérie ou la désinformation. Cela pourrait entraîner des coûts pour nous – annulation de voyages ou d’événements prévus, voire mise en quarantaine si nous pensons avoir été exposés – mais nous devrions accepter ces coûts avec joie.

« D’autres personnes ne penseraient pas que c’est le moment de faire la fête », disait Dionysius à propos de l’épidémie de son époque. « [Mais] loin d’être un temps de détresse, c’est un temps de joie inimaginable. » 

Pour être clair, Dionysius ne célébrait pas la mort et la souffrance qui accompagnent les épidémies. Il se réjouissait plutôt de l’occasion que lui offraient de telles circonstances pour mettre notre foi à l’épreuve, pour s’efforcer d’aimer et de servir nos voisins, pour répandre l’espoir de l’évangile, en paroles et en actes, dans ces moments de grande frayeur.





dimanche 15 septembre 2019

Les prescriptions médicales de Moïse


Il est très clair que Moïse a été inspiré par Celui qui sait tout, DIEU le Créateur de l'univers. Si vous voulez en savoir plus sur ce sujet, je vous conseille de lire la Bible...
A l'époque, il y a 3500 ans, il n'y avait pas de produits chimiques, ni de vaccins, mais les gens menaient une vie plus saine qu'aujourd'hui, et donc étaient moins malades et vivaient plus longtemps.
 Moïse est mort à 120 ans ! 

samedi 9 février 2019

J’ai jeté mon steak haché…

 De la viande avariée après une rupture de la chaîne du froid


Il avait pourtant bonne mine, mon steak haché, bien emballé sous vide et en atmosphère contrôlée, avec tout un tas de labels et de codes-barres, une date limite de consommation et tout ça.

Un steak haché acheté chez un « grand distributeur », un steak haché d’une marque connue.
Mais quand j’ai vu « dans le poste » que de la vilaine viande bien avariée venue de Pologne circulait dans la chaîne alimentaire, je me suis dit « méfiance, méfiance, ne prends aucun risque et jette ton steak haché ».

Alors j’ai mangé des œufs bio de poules élevées en plein air. Des œufs achetés chez un autre grand distributeur. Mais en mangeant mes œufs, je me demandais si, eux aussi, ils n’avaient pas une provenance bizarre : la coquille était bien mince et le jaune plutôt pâlot !

Pas comme les œufs que de temps à autre me donne mon voisin qui élève quelques poules. Mais qui élève des poules dans des conditions d’hygiène désastreuses ! Des poules qui picorent absolument n’importe quoi dans la cour, des poules qui ne sont pas vaccinées, des poules qui se font bouffer régulièrement par le renard qui rôde ! Le renard ! Une sale bête pleine de toutes sortes de « maladies naturelles » qu’il doit refiler aux poules de mon voisin et donc aux œufs.

Mais Dieu que les œufs des poules de mon voisin sont magnifiques, avec une coquille bien dure, un jaune bien jaune et un blanc bien solide. Avec le blanc d’œuf d’une poule de mon voisin, je fais autant de neige qu’avec trois beaux œufs bio !

Mais je ne suis pas raisonnable de consommer ainsi des produits pas contrôlés du tout : s’ils me rendent malade, je ne devrais pas être remboursé par la Sécu !
Finalement, je préfère prendre le risque de consommer les œufs des poules de mon voisin.

Patrick Robert

Commentaire de Pierre :

 Je vous conseille de plus manger du bas de gamme de super-marché, mais plutôt du BIO et local (si possible). Mais surtout, pensez à remercier DIEU de subvenir à vos besoins avec de la nourriture saine.


lundi 1 octobre 2018

Laissez monter la fièvre



Le premier réflexe de la plupart des médecins, parents et malades, est de vouloir « faire tomber la fièvre » dès que celle-ci dépasse 38,5°C.

C’est une énorme bêtise dans le cas des infections virales (la grande majorité des cas !), et vous allez comprendre tout de suite pourquoi.

Les virus pénètrent dans le corps par la bouche ou par le nez, le plus souvent. Ils entrent dans une cellule et se reproduisent à l’intérieur jusqu’à ce que la cellule soit pleine comme un œuf, remplie de millions de virus.

Si vous regardez à ce moment-là la cellule au microscope électronique, vous avez l’impression qu’elle est remplie d’alvéoles d’abeilles : ce sont les virus, qui sont aussi serrés que des alvéoles dans un rayon de miel ! Entièrement colonisée, la cellule meurt, éclate, et tous les virus sortent et se dispersent. Chacun entre dans une cellule saine, et le cycle recommence.

La propagation du virus est donc très rapide. Des millions ou des milliards de cellules peuvent être touchés en quelques heures. Elles sont si nombreuses à mourir que vous ne tardez pas à souffrir de lésions dans les organes. Vous avez mal aux articulations, à la tête, aux muscles, au ventre, aux oreilles, ou ailleurs selon les cas.

Heureusement, notre corps ne reste pas sans réagir face à une invasion de virus.

Dès qu’un virus pénètre dans une cellule, celle-ci lâche des substances qui font gonfler les vaisseaux sanguins à proximité. Le sang ralentit, s’accumule à l’endroit de l’infection, ce qui permet aux globules blancs qui sont dans le sang de traverser la paroi des vaisseaux sanguins et de rejoindre la cellule infectée.

Les globules blancs, aussi appelés leucocytes, sont en effet attirés par les substances émises par la cellule.

De votre côté, vous constatez une inflammation : parce que le sang s’accumule à l’endroit de l’infection, cela devient rouge, chaud, et douloureux. Mais C’EST BON SIGNE.

Cela veut dire qu’une « inflammation » est en train de se produire. C’est un mécanisme qui ordonne au corps de se défendre. La cellule infectée se retrouve entourée de millions de globules blancs. Ils sont si nombreux qu’ils bloquent l’oxygénation. Ne pouvant plus respirer, la cellule se met à fermenter et à produire du dioxyde de carbone et des acides lactiques. Cela crée une acidité dans la cellule qui bloque la reproduction des virus. De plus, la fermentation produit beaucoup de chaleur, ce qui tue les virus.

Bien entendu, la cellule meurt aussi. Mais la propagation du virus est stoppée, ce qui est le plus important. Quand la cellule meurt, les globules blancs meurent aussi et lâchent des substances qui augmentent la température du corps. Cela provoque de la température et de la fièvre. Cette température plus élevée du corps tue les autres virus présents ailleurs dans le corps.

La stratégie de réaction du corps est donc double : faire monter la température locale, au niveau de la cellule malade, et faire monter la température générale du corps, qui est la fièvre. Ces deux réactions contribuent à stopper l’infection virale.

L’inflammation et la fièvre sont bonnes pour vous



L’inflammation, lorsqu’elle est passagère, et la fièvre, lorsqu’elle ne dépasse pas 40°C, sont des réactions très efficaces de l’organisme pour se protéger des virus. En fait, ce sont même des réactions indispensables : si notre corps ne génère pas d’inflammation, les virus nous tuent sans la moindre résistance.

Les hommes l’ont toujours su : autrefois, quand un malade avait une infection, on le mettait sous des édredons, on lui faisait boire beaucoup de tisane pour le faire transpirer et AUGMENTER SA TEMPÉRATURE.

Un virus aussi dangereux que celui de la poliomyélite, qui provoque des handicaps à vie, voit sa vitesse de reproduction diminuer de 99 % lorsque la température passe de 38,5°C à 39°C !

Il faut savoir qu’avant les années 60, tout le monde attrapait à un moment ou à un autre le virus de la poliomyélite. 90 à 95 % des personnes ne s’en apercevaient même pas, car le virus était éliminé par leurs défenses naturelles avant même d’avoir provoqué des symptômes de maladie. Une minorité tombait malade, mais la plupart faisaient alors une poussée de fièvre qui détruisait le virus selon le mécanisme décrit ci-dessus.

Toutefois, si par malheur quelqu’un leur donnait à ce moment-là un cachet d’aspirine pour « faire baisser la fièvre », c’était la catastrophe : le virus attaquait la moelle épinière, provoquant la paralysie des jambes.

C’est pourquoi donner un simple cachet d’aspirine ou de doliprane à une personne infectée par un virus peut avoir des conséquences désastreuses : en faisant baisser l’inflammation et la température, un énorme « coup de fouet » est donné au virus. Votre organisme est dépouillé de ses protections naturelles, et n’a plus aucun moyen d’empêcher la prolifération du virus et la maladie.

Mais là où les médecins n’ont vraiment aucune excuse pour continuer à faire l’erreur de « lutter contre la fièvre », c’est que le phénomène a été compris et expliqué scientifiquement dès les années 60, autrement dit il y a UN DEMI-SIÈCLE.

Et les médecins français ont encore moins d’excuses que les autres car c’est en France que le Pr André Lwoff, prix Nobel de Médecine en 1965, a fait un important travail d’information pour expliquer à la profession comment la fièvre agit contre les virus.
Si le message n’est toujours pas passé aujourd’hui, quand le sera-t-il ??

Et comme on l’a vu plus haut avec l’exemple de la polio, une très légère différence de température (0,5°C) peut entraîner une énorme diminution de la vitesse de reproduction des virus. La différence entre la santé et la maladie, et dans certains cas, entre la vie et la mort !
Supprimer la fièvre peut augmenter la vitesse de réplication des virus au point de submerger le système immunitaire.

Jean-Marc Dupuis


mardi 22 septembre 2015

Vaccins, ce que tout parent doit savoir


En 2013, l'Union européenne a autorisé la mise sur le marché d'un nouveau  vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.

Cette « innovation » est généralement présentée par les médias comme « une vraie avancée en matière de vaccination, à l'heure où les autorités sanitaires tentent par différents moyens (…) de redonner confiance aux Français en cette méthode préventive » (lu sur le site Informations Hospitalières).

En ce qui me concerne, je ne suis pas rassuré. Je m'explique. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à l’un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable.

Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables.

Des effets secondaires inquiétants


Un nombre alarmant d'études scientifiques met actuellement en lumière les dangers des vaccins.

Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)

Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la Ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Alzheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.
Un rapport risque/avantage douteux

Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient les vaccins.

L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, rougeole, oreillons, rubéole, etc.

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.

Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du XXe siècle.

Le cas emblématique de la diphtérie

Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants. (6)

En Espagne, il y avait chaque année 5 000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (une baisse de 99,2 %).

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.
Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.
En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagne d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi totale.

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).

Un phénomène général

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.
La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y ait eu de campagne importante de vaccination.
Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).
La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.
La tuberculose et le BCG

Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année.

Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'après-guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
La vérité soigneusement dissimulée

Actuellement, malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.

Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliard d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.


A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :

    la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros ;
    l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros ;
    l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros ;
    150,6 millions d'euros de masques ;
    41,6 millions d'euros de dépenses logistiques ;
    290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés ;
    59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication ;
    100 millions de « frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination » ;
    et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)

Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.
vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins


De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.
C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (8)

Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European Forum For Vaccine Vigilance) :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite.
Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée.
J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont dû faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles.
Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence Nationale du Médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.
Que faire ??

Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ?

Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.

Le problème est que l'absence d'études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.

Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.

Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.

Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est, dans la plupart des cas, nocif.

De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n'est pas prévu par le système.

Une réforme indispensable et urgente

Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet.
Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.
Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis


vendredi 10 juillet 2015

Les microbes font de la résistance !


Des spécialistes lancent l’alerte sur la progression de l’antibiorésistance en Europe



Selon les dernières données disponibles, de 2009, entre 25 000 et 30 000 Européens décèdent chaque année, un chiffre qui, selon la Société européenne pour la microbiologie clinique et les maladies infectieuses (ESCMID), pourrait grimper à 50 000 morts par an au cours des dix prochaines années.

Dans un rapport de novembre 2014, le Centre européen de prévention et de
contrôle des maladies (ECDC) estimait que les pays les plus affectés étaient la Grèce, l’Italie et l’Espagne avec des souches bactériennes résistantes, notamment Klebsiella pneumoniae ou Escherichia coli.

Bactéries sans frontières

« Les bactéries ne respectent pas les frontières, Il est donc fort probable que nous assistions à une propagation de microbes hautement résistants provenant des nations présentant un problème plus grave. Nous avons besoin de stratégies aussi bien européennes qu’internationales ainsi que d’initiatives nationales, car le problème ne restera pas local très longtemps », a commenté Murat Akinova, président de l’ESCMID.

Prévalence de plus en plus importante en France

« À présent, nous commençons à assister à une propagation aussi bien hospitalière que communautaire de bactéries multirésistantes (par exemple, des entérobactéries). Il existe par ailleurs une prévalence de plus en plus importante en France de la résistance chez des espèces bactériennes typiquement hospitalières comme P. Aeruginosa et A. baumannii. », a expliqué Patrice Nordmann, spécialiste en microbiologie de l’ESCMID et professeur en microbiologie à l’Université de Fribourg, en Suisse.

Détecter très tôt les patients résistants et investir dans le diagnostic rapide est, selon le scientifique, primordial. « Il n’y a pas de solution simple, mais nous devons agir maintenant avant que le problème ne commence à toucher un nombre critique de personnes et qu’il ne donne lieu à une épidémie européenne majeure », poursuit-il. Des mesures seront discutées ce week-end lors du congrès de Copenhague.

Sophie Martos

Commentaire de Pierre DANIS :

Depuis la rébellion de l'homme contre le Créateur, beaucoup de microbes qui devaient être bons à l'origine, sont devenus pathogènes. Depuis le temps, ils se sont sélectionnés, adaptés, ou ont mutés pour devenir pires. Merci aux chercheurs et aux médecins consciencieux qui font le maximum pour soigner les malades...et merci surtout à DIEU qui limite les dégâts, sinon il n'y aurait plus personne.