Il est choquant que la plupart des produits de beauté soient principalement composés de dérivés de pétrole et de matières plastiques.
Certes, c'est le moyen le plus rapide de lisser la peau et d'effacer les imperfections. De plus, les nouveaux traitements chimiques sont très efficaces pour donner à ces crèmes une couleur lumineuse, une texture fluide et masquer leur mauvaise odeur.
Mais tout de même :
Jour après jour, toxines et perturbateurs endocriniens (produits qui changent l'équilibre hormonal) pénètrent dans la peau. Ils rejoignent ensuite le sang et s'accumulent dans le corps.
Vous les retrouvez dans les organes vitaux comme le foie, les reins, le pancréas et le cerveau.
Pire encore, ils peuvent être transmis par la mère à son fœtus.
Cet héritage empoisonné devient alors familial et transmissible, qu'on le veuille ou non, aux générations suivantes ! C'est le drame des fameux POP, les « polluants organiques persistants », qu'on retrouve malheureusement même dans la graisse des bébés phoques et des jeunes pingouins qui viennent de naître aux confins de l'Arctique…
Des maladies qui attendent de s'éveiller
Un organe comme le cerveau, composé à 70 % de phospholipides, qui sont des graisses, attire les toxines et a le plus grand mal à s'en défaire une fois qu'elles y ont pénétré.
On constate sur le long terme un effet d'accumulation qui pourrait expliquer l'explosion du nombre de démences séniles, ainsi que des autres problèmes psychiatriques (agitation, angoisse, dépression, maladie d'Alzheimer…) et même des tumeurs.
Et pourtant, vivre sain ne veut pas dire vivre négligé, triste et seul.