But de ce blog

Transmettre des informations sur les maladies, la pollution, et surtout sur la santé.


lundi 28 juillet 2025

L'homme ravage tout !!!

  Les arbres, victimes collatérales de la mondialisation


De plus en plus d’insectes ravageurs et de maladies venues d’autres continents, notamment d’Asie, s’attaquent aux plantes européennes. La rançon de la multiplication des échanges commerciaux.

Xylella fastidiosa. Derrière ce nom latin, se cache une bactérie transportée de plantes en plantes par des insectes piqueurs. Elle a déjà fait des ravages dans les vignes aux États-Unis et les plantations d’agrumes au Brésil. En Europe, elle s’en est prise aux oliviers italiens et les producteurs d’olives corses craignent de la voir débarquer sur l’île de Beauté. Leurs collègues continentaux spécialisés dans la cerise ou la châtaigne pourraient leur parler de leurs propres malheurs.

Les premiers font face à une mouche asiatique, la Drosophila suzukii, les seconds subissent les attaques d’une guêpe chinoise, le cynips. Mais aucun secteur n’échappe à ces assauts venus d’ailleurs. Pas plus les vergers cultivés que les forêts sauvages et les allées urbaines. Les platanes sont décimés par le chancre coloré; les palmiers, ravagés par le charançon rouge ; les buis, touchés par la pyrale; les frênes, menacés par la chalarose… Et d’autres assaillants s’approchent, comme le nématode du pin, repéré au Portugal.

Qu’il s’agisse de champignons, de virus, de bactéries ou d’insectes – lesquels peuvent être ravageurs en tant que tels ou vecteurs de maladies –, ces agresseurs ont en commun d’avoir voyagé depuis d’autres latitudes et de frapper des «victimes» qui n’étaient pas préparées. Le phénomène n’est pas nouveau. «Mais il va en s’accélérant, indique Nicolas Borowiec, ingénieur d’études de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) à Antibes. Cela suit le développement des échanges commerciaux. Avant, l’agression venait plutôt d’Amérique du Nord. Maintenant, plutôt d’Asie et notamment de Chine.»

Or, la Chine connaît une gamme climatique proche de celle du Vieux Continent, ce qui «donne aussi une gamme très large de parasites susceptibles de s’adapter à l’Europe», précise Jérôme Jullien, expert en surveillance biologique du territoire au ministère de l’agriculture. La diffusion intra-européenne de ces fléaux exotiques est également liée à l’internationalisation du commerce des végétaux. «Le cas de la pyrale du buis est assez emblématique, note Jérôme Rousselet, de l’Inra à Orléans. On soupçonne très fortement cette invasion fulgurante d’être directement liée aux mutations économiques de l’horticulture.»

Ce papillon aurait été importé de Chine via des plants contaminés, puis diffusé à travers le réseau de distribution d’un géant horticole néerlandais. Après avoir touché les buis de «monsieur tout-le-monde» et des parcs, la bête lorgne sur les buxaies naturelles. Mais ces maux potentiels ne voyagent pas seulement sur du matériel vivant ou des semences. Le capricorne asiatique a débarqué avec des palettes en bois au milieu de pièces d’ascenseur. Et quand il s’agit de «simples» champignons, le vent fait le reste.

L’avancée de ravageurs peut être favorisée par le réchauffement climatique, même si les chercheurs se refusent à faire de généralité à ce sujet. «Il y a une combinaison de facteurs», rappelle Alain Roques, dont l’équipe de l’Inra à Orléans travaille sur la chenille processionnaire. Pour le coup, cet insecte friand d’aiguilles de pin n’est pas exotique. Il était chez lui dans le midi de la France. Il se trouve désormais aux portes de Paris. «Des barrières thermiques ont cédé», ajoute le spécialiste.

Tous les insectes voyageurs ne s’adaptent pas, ni ne sèment la terreur. Certains peuvent, aussi, rester cachés avant de se révéler nuisibles. «Il est très difficile de savoir à l’avance quels dégâts ils vont faire, constate Jean-Claude Streito, entomologiste à l’Inra à Montpellier. Généralement, on le prévoit assez mal. En tout cas, les exemples d’éradications sont rares et la lutte est encore plus difficile quand il s’agit de bactéries ou de champignons. Quand ils sont attaqués, les arbres sont plutôt mal embarqués.»

La riposte est d’autant plus délicate qu’elle suppose d’y associer des particuliers et de rentrer dans leurs jardins. L’option la plus brutale reste la prophylaxie, ce qui signifie abattre et brûler les malades. Sinon, il est possible de sélectionner des variétés résistantes comme cela a été réalisé pour l’orme. Entre ces deux solutions, agriculteurs, forestiers et responsables d’espaces verts ont le choix entre les pesticides, le piégeage ou la lutte biologique.



Cette dernière est à l’œuvre contre le cynips des châtaigniers. Son prédateur naturel, le Torymus sinensis, a été volontairement importé de Chine. «Cette méthode a déjà été utilisée avec succès au Japon et aux États-Unis, explique Nicolas Borowiec, qui travaille sur ce dossier. Elle ne va pas éradiquer l’insecte mais vise un équilibre avec son prédateur. C’est pour cette raison que cela prend du temps. Il faudra une dizaine d’années avant de revenir à une production normale de châtaignes.»

La parade repose également sur la protection du territoire hexagonal et l’existence d’un réseau de surveillance international. Les palettes chinoises sont désormais traitées. «Mais il est illusoire de penser que l’on peut tout arrêter, reprend Jean-Claude Streito. Ou alors, il faudrait arrêter le commerce. Même des pays extrêmement fermés comme les États-Unis n’arrivent pas à se protéger.»

Jérôme Jullien partage cette analyse : «Il y a des failles, naturellement. On a affaire à des organismes vivants, on ne pourra jamais maîtriser tous les risques. On craint toujours, par exemple, des introductions via le commerce sur Internet.» À force, la mondialisation va-t-elle mettre à bas tous les arbres ? «Il ne faut pas être trop alarmiste», répond Jérôme Rousselet. «La nature est assez résiliente, enchaîne Jean-Claude Streito. Regardez les doryphores. Parfois, ils pullulent. Après, cela se calme.»

De même, au ministère de l’agriculture, on ne veut pas céder à la panique quant à l’avenir de nos futaies. «La forêt est comme la population humaine, il y a des malades, mais rien de très inquiétant, assure un expert. Elle se porte plutôt bien actuellement et son état de santé est stable depuis de nombreuses années.» Mais les propriétaires d’oliviers en Corse peuvent, eux, s’inquiéter. La Xylella fastidiosa vient d’être identifiée pour la première fois en France, sur un plant de caféier intercepté au marché de Rungis (Val-de-Marne).



LES ARBRES D’ORNEMENT  LES PLUS TOUCHES

Un insecte est dit invasif et ravageur quand il est d’origine exotique, réussit à s’établir et à s’étendre, puis produit des dégâts.
Selon une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), 102 espèces d’insectes «ravageurs d’intérêt agronomique» ont été introduites en France de 2000 à 2014 (1). La moitié vient d’Asie.
Selon la même étude, sur la période 2005-2014, près de 75% de ces introductions concernent les plantes ligneuses (arbres et arbustes) et les palmiers.
Ce pourcentage était de 5% pour la période 1950-1999 et de 61% sur 2000-2005. Les filières ornementales sont concernées par plus de 70% des introductions, contre 6,6% pour les forêts et 9,9% pour l’arboriculture.  Mais c’est dans ce dernier secteur que l’impact économique des dégâts est le plus important.

(1) «Actualités entomologiques : nouveaux insectes ravageurs introduits en France métropolitaine», par M. Martinez, ­J.-F. Germain et J.-C. Streito.
Pascal Charrier

Commentaire de Pierre DANIS

Depuis la révolte de nos premiers ancêtres contre le Créateur, tout va de plus en plus mal...La nature a été maudite à cause de l'homme et nous en voyons les effets partout.
La Bible dit qu'à l'origine, tout était parfait, sans défaut, et les arbres malades nous rapellent que nous vivons dans un monde déchu...
Heureusement, le Seigneur Jésus Christ viendra sur la Terre pour établir son règne et restaurer la nature.



mardi 1 juillet 2025

Les médecins contraints de pratiquer des avortements

Si en France le recours à l’avortement est légal depuis 1975, la loi Veil est assortie d’une clause qui garantit au personnel soignant la liberté de refuser de pratiquer un avortement. « Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer »,  avait déclaré Simone Veil à propos de l’« IVG » au moment du vote de la loi qui porte son nom. D’après le lobby de l’avortement, la clause de conscience est aujourd’hui la principale menace qui pèse sur le recours à l’« IVG ».  « La clause de conscience sur l’avortement, c’est une entrave aux droits des femmes et à leur santé, et un vrai danger à terme pour ce droit fondamental. En Italie, + de 70% des médecins refusent », a ainsi déclaré sur twitter la Présidente du Planning familial.

Plusieurs propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat pour retirer cette garantie reconnue aux médecins, mais toutes ont échoué. Une fois l’avortement devenu une « liberté » garantie par la Constitution, la tentation sera grande pour le législateur d’abroger dans la foulée la clause accusée d’être la principale entrave à l’exercice de ladite liberté. Si, malgré tout, le législateur s’abstenait d’agir, c’est le Conseil constitutionnel qui pourrait abroger la clause de conscience, en vertu du principe de la hiérarchie des normes qui interdit aux lois de contredire le texte constitutionnel. Les médecins et sage-femmes objecteurs de conscience n’auront alors d’autre choix que de renoncer à l’exercice de leur art ou de s’exposer à des poursuites judiciaires. Des centaines de milliers de femmes pourraient donc perdre leur gynécologue et si elles le conservent, elles pourront être certaines que celui-ci est aussi un avorteur.


Les associations pro-vie menacées

Les conséquences néfastes de la constitutionnalisation de l’avortement ne s’arrêteront pas là. En devenant une liberté constitutionnelle, le recours à l’« IVG » deviendra en quelque sorte un nouveau dogme républicain au même titre, par exemple, que le suffrage universel ou la laïcité. Contrevenir à ce dogme, ou simplement refuser d’y adhérer, exposera à l’accusation infamante de « séparatisme ».  

Les associations pro-vie seront bâillonnées voire carrément dissoutes. Les conséquences de cette chasse aux sorcières ne seraient pas seulement dramatiques pour la liberté d’expression… Les associations pro-vie étant les seules à proposer aux femmes enceintes des solutions concrètes pour garder leur bébé, ces dernières se retrouveraient avec le Planning familial pour seul interlocuteur. Des dizaines de milliers de petites vies supplémentaires pourraient donc être sacrifiées chaque année…


dimanche 8 juin 2025

Ha ! Les bonnes baguettes !!!



mercredi 30 avril 2025

De l'eau radio-active !

Médiapart a révélé que de fortes doses de tritium radioactif ont été détectées dans l’eau du robinet de plus de 10 millions de Français.

Ce qui est dingue, c’est qu’il n’y pas eu d’accident nucléaire.

C’est une pollution “normale”, toutes les centrales nucléaires Françaises rejettent du tritium radioactif dans les rivières.

Il se retrouve ensuite dans l’eau du robinet des habitants vivant en aval de ces centrales.

Avec des doses jusqu'à 32 fois supérieurs à la radioactivité naturelle.

Mais ça presque tout le monde l'ignorait…

Des centrales nucléaires il y en a presque partout en France, de la pollution au tritium radioactif aussi.

Le CRIIRAD (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité) a réalisé une carte interactive des zones les plus touchées.

C’est effrayant… Mais dans la réalité, c’est sûrement encore pire !

Le CRIIRAD n'a réalisé des analyses que dans les villes qui puisent leur eau dans les rivières qui sont directement situées sous les centrales nucléaires.

Une grande partie du territoire français n’ayant pas été testé, il y a donc sûrement beaucoup plus que 10 millions de Français qui sont touchés…

Un risque de cancers largement sous-estimé pour des scientifiques indépendants !

Beaucoup des réseaux d’eau potable utilisent l’eau des rivières, le tritium radioactif passe donc des centrales nucléaires au robinet d’au moins 10 millions de Français.

Les chercheurs Timothy Mousseau et Sarah Todd, de l’université de Caroline du Sud (États-Unis) ont analysé 250 publications scientifiques.

Ils concluent que “contrairement à l’idée répandue que le tritium est une source relativement anodine d’irradiation, la grande majorité des études indiquent que l’exposition, en particulier interne [c’est à-dire depuis l’intérieur du corps – ndlr] peut avoir des conséquences biologiques, en abîmant l’ADN, en causant des dégâts physiologiques et du développement, en réduisant la fertilité et la longévité, et en élevant le risque de maladies, y compris de cancers.”

Les autorités de santé française jugent que le tritium n’est pas dangereux pour la santé, mais ils ne prennent en compte qu’une brève exposition au tritium radioactif.

C’est quand il est ingéré pendant des années et stocké dans l’organisme qu'il devient dangereux.

Il peut provoquer des maladies, augmenter le risque de cancer, réduire la fertilité et pénétrer dans les embryons (surtout pendant les 3 premiers mois de la grossesse).

En France ce sont au moins 10 millions de Français qui boivent depuis plusieurs décennies cette eau polluée au tritium qui l’accumulent dans leur organisme.

Et tu en fais peut-être partie, sans même le savoir…

De la radioactivité dans les urines !

Les autorités sanitaires françaises autorisent le tritium jusqu’à 100 Bq/l (au-dessus de ce seuil l’eau n’est pas déclarée non potable, mais une enquête doit être menée).

Médiapart et le CRIIRAD ont réalisé des analyses sur des personnes qui boivent au quotidien une eau polluée au tritium radioactif, avec des doses pourtant très largement en dessous de la limite de 100 Bq/l .

Mais cette “faible” dose ne les a pas empêchées d’être contaminées.

Les résultats font froid dans le dos..

“Entre fin mars et fin avril 2023, Pierre*, qui vit dans la région de Nantes (Loire-Atlantique), a bu tous les jours de l’eau du robinet [...] dans la sienne se trouvait du tritium [...] : entre 8 et 14 Bq/l. Résultat : le tritium s’est retrouvé dans son urine, à un niveau suffisamment élevé pour pouvoir être mesuré : entre 3,4 et 4,7 Bq/l.”

Entre mai et juin de la même année, Thomas*, habitant de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), a avalé entre 2,8 et 11,6 Bq/l de tritium chez lui, et uriné entre 3,2 et 3,5 Bq/l de substance radioactive.

« Ça a été une découverte et une inquiétude, dit-il à Mediapart. Je ne m’y attendais pas. J’ai réalisé qu’en plus des pesticides et des polluants éternels, on pouvait aussi avoir de la radioactivité dans l’eau potable. Il y en a peu mais comme je bois tous les jours cette eau, et que j’habite là depuis dix ans, ça s’accumule quand même. » 

 Bactéries, virus, pesticides, perturbateurs endocriniens, métaux lourds, micro-plastiques… Et maintenant du tritium radioactif !

Filtrer ton eau du robinet est devenu une obligation pour grandir, vivre et vieillir en bonne santé.

 Antoine,

Source : 

[1] https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/091224/nucleaire-il-y-des-atomes-radioactifs-dans-votre-verre-d-eau


Commentaire de Pierre
Dans quelques années le Seigneur Jésus va revenir pour établir son royaume et dépolluer la Terre. 


vendredi 21 mars 2025

Des vacances presque parfaites

 Cet été, nous avons loué, avec mes enfants, un petit appartement de vacances dans un minuscule hameau au cœur des Alpes.

Nous étions en pleine nature. En journée, le seul « bruit » nous rappelant la civilisation était celui du passage du petit train à crémaillère de la vallée, chaque heure.

La nuit, la montagne n’était éclairée que par la lune et les étoiles… et on entendait hurler les loups !

C’était reposant.

Cet appartement avait un défaut : il avait une télévision… avec une centaine de chaînes.

Mes deux plus grands enfants ont tout de suite voulu l’allumer.

Nous avons décidé qu’ils auraient droit à 1 heure maximum, mais pas tous les jours, et surtout après que nous avons fait des activités dehors ou dedans (lecture ou jeux de société).


Preuves scientifiques accablantes

Je les ai observés pendant qu’ils regardaient des dessins animés sur une chaîne jeunesse.

Ce qui me frappe à chaque fois, avec les enfants qui sont face à une télé (c’est valable aussi pour certains adultes), c’est qu’une météorite pourrait défoncer le plafond et faire un trou béant à leurs pieds, ils ne s’en apercevraient pas.

Il faut toujours s’y reprendre à plusieurs fois pour capter leur attention. Quand vous leur posez une question, une fois sur deux, leur réponse est monosyllabique. Le reste du temps, elle est à côté de la plaque.

Je vous invite à lire le livre TV Lobotomie – La vérité scientifique sur les effets de la télévision. Les ravages de la télévision sur la concentration et le développement du cerveau des enfants y sont bien documentés. L’auteur Michel Desmurget, docteur en neurosciences et chercheur à l’INSERM, s’appuie sur quelque 1 193 études scientifiques (c’est énorme) pour expliquer comment trop de télévision :

    empêche un déploiement optimal des fonctions cérébrales de l’enfant ;

    fait apparaître des troubles du langage et limite le vocabulaire ;

    a un impact négatif sur l’attention, réduisant les chances de réussite scolaire et sociale ;

    réduit la quantité et la qualité des rapports entre les enfants et leurs parents.

Selon les calculs de l’auteur, « un écolier du primaire passe, tous les ans, plus de temps devant le tube cathodique que face à son instituteur (956 heures contre 864) ».

Cela vaut le coup de rappeler les conséquences possibles du « trop de télévision », même si vous en étiez certainement déjà conscient.

Et pour les adultes ?

Les « maladies de civilisation » sont dans la télé

Selon Michel Desmurget, toujours études à l’appui, la télévision contribuerait au développement :

    de l’obésité ;

    de la tabagie ;

    de l’abus d’alcool ;

    de la dégradation de la sexualité ;

    des troubles du sommeil ;

    de la maladie d’Alzheimer.

Par exemple, le caractère hypnotisant de la télé nous fait consommer sans retenue devant elle (car notre attention est happée par l’écran et nous mangeons alors de manière mécanique). Et consommer… n’importe quoi.

Il y a aussi l’impact des « pages de publicité ».

Non seulement leur nombre est effarant, mais les annonceurs y ont les coudées franches pour vendre le pire sous les apparences du meilleur.

Perversion du système : ces spots coûtent tellement cher que seuls les grands groupes de l’industrie alimentaire ont l’argent nécessaire pour se rendre visibles au petit écran.

Si vous voyez un jour un spot promotionnel, lors de la pause publicitaire du film du dimanche soir, en faveur du producteur de carottes biologiques, prévenez-moi et j’achèterai une télé tout de suite… !

Rodolphe Bacquet