But de ce blog

Transmettre des informations sur les maladies, la pollution, et surtout sur la santé.


mardi 1 juillet 2025

Les médecins contraints de pratiquer des avortements

Si en France le recours à l’avortement est légal depuis 1975, la loi Veil est assortie d’une clause qui garantit au personnel soignant la liberté de refuser de pratiquer un avortement. « Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer »,  avait déclaré Simone Veil à propos de l’« IVG » au moment du vote de la loi qui porte son nom. D’après le lobby de l’avortement, la clause de conscience est aujourd’hui la principale menace qui pèse sur le recours à l’« IVG ».  « La clause de conscience sur l’avortement, c’est une entrave aux droits des femmes et à leur santé, et un vrai danger à terme pour ce droit fondamental. En Italie, + de 70% des médecins refusent », a ainsi déclaré sur twitter la Présidente du Planning familial.

Plusieurs propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat pour retirer cette garantie reconnue aux médecins, mais toutes ont échoué. Une fois l’avortement devenu une « liberté » garantie par la Constitution, la tentation sera grande pour le législateur d’abroger dans la foulée la clause accusée d’être la principale entrave à l’exercice de ladite liberté. Si, malgré tout, le législateur s’abstenait d’agir, c’est le Conseil constitutionnel qui pourrait abroger la clause de conscience, en vertu du principe de la hiérarchie des normes qui interdit aux lois de contredire le texte constitutionnel. Les médecins et sage-femmes objecteurs de conscience n’auront alors d’autre choix que de renoncer à l’exercice de leur art ou de s’exposer à des poursuites judiciaires. Des centaines de milliers de femmes pourraient donc perdre leur gynécologue et si elles le conservent, elles pourront être certaines que celui-ci est aussi un avorteur.


Les associations pro-vie menacées

Les conséquences néfastes de la constitutionnalisation de l’avortement ne s’arrêteront pas là. En devenant une liberté constitutionnelle, le recours à l’« IVG » deviendra en quelque sorte un nouveau dogme républicain au même titre, par exemple, que le suffrage universel ou la laïcité. Contrevenir à ce dogme, ou simplement refuser d’y adhérer, exposera à l’accusation infamante de « séparatisme ».  

Les associations pro-vie seront bâillonnées voire carrément dissoutes. Les conséquences de cette chasse aux sorcières ne seraient pas seulement dramatiques pour la liberté d’expression… Les associations pro-vie étant les seules à proposer aux femmes enceintes des solutions concrètes pour garder leur bébé, ces dernières se retrouveraient avec le Planning familial pour seul interlocuteur. Des dizaines de milliers de petites vies supplémentaires pourraient donc être sacrifiées chaque année…


dimanche 8 juin 2025

Ha ! Les bonnes baguettes !!!



mercredi 30 avril 2025

De l'eau radio-active !

Médiapart a révélé que de fortes doses de tritium radioactif ont été détectées dans l’eau du robinet de plus de 10 millions de Français.

Ce qui est dingue, c’est qu’il n’y pas eu d’accident nucléaire.

C’est une pollution “normale”, toutes les centrales nucléaires Françaises rejettent du tritium radioactif dans les rivières.

Il se retrouve ensuite dans l’eau du robinet des habitants vivant en aval de ces centrales.

Avec des doses jusqu'à 32 fois supérieurs à la radioactivité naturelle.

Mais ça presque tout le monde l'ignorait…

Des centrales nucléaires il y en a presque partout en France, de la pollution au tritium radioactif aussi.

Le CRIIRAD (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité) a réalisé une carte interactive des zones les plus touchées.

C’est effrayant… Mais dans la réalité, c’est sûrement encore pire !

Le CRIIRAD n'a réalisé des analyses que dans les villes qui puisent leur eau dans les rivières qui sont directement situées sous les centrales nucléaires.

Une grande partie du territoire français n’ayant pas été testé, il y a donc sûrement beaucoup plus que 10 millions de Français qui sont touchés…

Un risque de cancers largement sous-estimé pour des scientifiques indépendants !

Beaucoup des réseaux d’eau potable utilisent l’eau des rivières, le tritium radioactif passe donc des centrales nucléaires au robinet d’au moins 10 millions de Français.

Les chercheurs Timothy Mousseau et Sarah Todd, de l’université de Caroline du Sud (États-Unis) ont analysé 250 publications scientifiques.

Ils concluent que “contrairement à l’idée répandue que le tritium est une source relativement anodine d’irradiation, la grande majorité des études indiquent que l’exposition, en particulier interne [c’est à-dire depuis l’intérieur du corps – ndlr] peut avoir des conséquences biologiques, en abîmant l’ADN, en causant des dégâts physiologiques et du développement, en réduisant la fertilité et la longévité, et en élevant le risque de maladies, y compris de cancers.”

Les autorités de santé française jugent que le tritium n’est pas dangereux pour la santé, mais ils ne prennent en compte qu’une brève exposition au tritium radioactif.

C’est quand il est ingéré pendant des années et stocké dans l’organisme qu'il devient dangereux.

Il peut provoquer des maladies, augmenter le risque de cancer, réduire la fertilité et pénétrer dans les embryons (surtout pendant les 3 premiers mois de la grossesse).

En France ce sont au moins 10 millions de Français qui boivent depuis plusieurs décennies cette eau polluée au tritium qui l’accumulent dans leur organisme.

Et tu en fais peut-être partie, sans même le savoir…

De la radioactivité dans les urines !

Les autorités sanitaires françaises autorisent le tritium jusqu’à 100 Bq/l (au-dessus de ce seuil l’eau n’est pas déclarée non potable, mais une enquête doit être menée).

Médiapart et le CRIIRAD ont réalisé des analyses sur des personnes qui boivent au quotidien une eau polluée au tritium radioactif, avec des doses pourtant très largement en dessous de la limite de 100 Bq/l .

Mais cette “faible” dose ne les a pas empêchées d’être contaminées.

Les résultats font froid dans le dos..

“Entre fin mars et fin avril 2023, Pierre*, qui vit dans la région de Nantes (Loire-Atlantique), a bu tous les jours de l’eau du robinet [...] dans la sienne se trouvait du tritium [...] : entre 8 et 14 Bq/l. Résultat : le tritium s’est retrouvé dans son urine, à un niveau suffisamment élevé pour pouvoir être mesuré : entre 3,4 et 4,7 Bq/l.”

Entre mai et juin de la même année, Thomas*, habitant de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), a avalé entre 2,8 et 11,6 Bq/l de tritium chez lui, et uriné entre 3,2 et 3,5 Bq/l de substance radioactive.

« Ça a été une découverte et une inquiétude, dit-il à Mediapart. Je ne m’y attendais pas. J’ai réalisé qu’en plus des pesticides et des polluants éternels, on pouvait aussi avoir de la radioactivité dans l’eau potable. Il y en a peu mais comme je bois tous les jours cette eau, et que j’habite là depuis dix ans, ça s’accumule quand même. » 

 Bactéries, virus, pesticides, perturbateurs endocriniens, métaux lourds, micro-plastiques… Et maintenant du tritium radioactif !

Filtrer ton eau du robinet est devenu une obligation pour grandir, vivre et vieillir en bonne santé.

 Antoine,

Source : 

[1] https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/091224/nucleaire-il-y-des-atomes-radioactifs-dans-votre-verre-d-eau


Commentaire de Pierre
Dans quelques années le Seigneur Jésus va revenir pour établir son royaume et dépolluer la Terre. 


vendredi 21 mars 2025

Des vacances presque parfaites

 Cet été, nous avons loué, avec mes enfants, un petit appartement de vacances dans un minuscule hameau au cœur des Alpes.

Nous étions en pleine nature. En journée, le seul « bruit » nous rappelant la civilisation était celui du passage du petit train à crémaillère de la vallée, chaque heure.

La nuit, la montagne n’était éclairée que par la lune et les étoiles… et on entendait hurler les loups !

C’était reposant.

Cet appartement avait un défaut : il avait une télévision… avec une centaine de chaînes.

Mes deux plus grands enfants ont tout de suite voulu l’allumer.

Nous avons décidé qu’ils auraient droit à 1 heure maximum, mais pas tous les jours, et surtout après que nous avons fait des activités dehors ou dedans (lecture ou jeux de société).


Preuves scientifiques accablantes

Je les ai observés pendant qu’ils regardaient des dessins animés sur une chaîne jeunesse.

Ce qui me frappe à chaque fois, avec les enfants qui sont face à une télé (c’est valable aussi pour certains adultes), c’est qu’une météorite pourrait défoncer le plafond et faire un trou béant à leurs pieds, ils ne s’en apercevraient pas.

Il faut toujours s’y reprendre à plusieurs fois pour capter leur attention. Quand vous leur posez une question, une fois sur deux, leur réponse est monosyllabique. Le reste du temps, elle est à côté de la plaque.

Je vous invite à lire le livre TV Lobotomie – La vérité scientifique sur les effets de la télévision. Les ravages de la télévision sur la concentration et le développement du cerveau des enfants y sont bien documentés. L’auteur Michel Desmurget, docteur en neurosciences et chercheur à l’INSERM, s’appuie sur quelque 1 193 études scientifiques (c’est énorme) pour expliquer comment trop de télévision :

    empêche un déploiement optimal des fonctions cérébrales de l’enfant ;

    fait apparaître des troubles du langage et limite le vocabulaire ;

    a un impact négatif sur l’attention, réduisant les chances de réussite scolaire et sociale ;

    réduit la quantité et la qualité des rapports entre les enfants et leurs parents.

Selon les calculs de l’auteur, « un écolier du primaire passe, tous les ans, plus de temps devant le tube cathodique que face à son instituteur (956 heures contre 864) ».

Cela vaut le coup de rappeler les conséquences possibles du « trop de télévision », même si vous en étiez certainement déjà conscient.

Et pour les adultes ?

Les « maladies de civilisation » sont dans la télé

Selon Michel Desmurget, toujours études à l’appui, la télévision contribuerait au développement :

    de l’obésité ;

    de la tabagie ;

    de l’abus d’alcool ;

    de la dégradation de la sexualité ;

    des troubles du sommeil ;

    de la maladie d’Alzheimer.

Par exemple, le caractère hypnotisant de la télé nous fait consommer sans retenue devant elle (car notre attention est happée par l’écran et nous mangeons alors de manière mécanique). Et consommer… n’importe quoi.

Il y a aussi l’impact des « pages de publicité ».

Non seulement leur nombre est effarant, mais les annonceurs y ont les coudées franches pour vendre le pire sous les apparences du meilleur.

Perversion du système : ces spots coûtent tellement cher que seuls les grands groupes de l’industrie alimentaire ont l’argent nécessaire pour se rendre visibles au petit écran.

Si vous voyez un jour un spot promotionnel, lors de la pause publicitaire du film du dimanche soir, en faveur du producteur de carottes biologiques, prévenez-moi et j’achèterai une télé tout de suite… !

Rodolphe Bacquet

mardi 18 février 2025

Les médecins contraints de pratiquer des avortements

Si en France le recours à l’avortement est légal depuis 1975, la loi Veil est assortie d’une clause qui garantit au personnel soignant la liberté de refuser de pratiquer un avortement. « Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer »,  avait déclaré Simone Veil à propos de l’« IVG » au moment du vote de la loi qui porte son nom. D’après le lobby de l’avortement, la clause de conscience est aujourd’hui la principale menace qui pèse sur le recours à l’« IVG ».  « La clause de conscience sur l’avortement, c’est une entrave aux droits des femmes et à leur santé, et un vrai danger à terme pour ce droit fondamental. En Italie, + de 70% des médecins refusent », a ainsi déclaré sur twitter la Présidente du Planning familial.

Plusieurs propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat pour retirer cette garantie reconnue aux médecins, mais toutes ont échoué. Une fois l’avortement devenu une « liberté » garantie par la Constitution, la tentation sera grande pour le législateur d’abroger dans la foulée la clause accusée d’être la principale entrave à l’exercice de ladite liberté. 

Si, malgré tout, le législateur s’abstenait d’agir, c’est le Conseil constitutionnel qui pourrait abroger la clause de conscience, en vertu du principe de la hiérarchie des normes qui interdit aux lois de contredire le texte constitutionnel. Les médecins et sage-femmes objecteurs de conscience n’auront alors d’autre choix que de renoncer à l’exercice de leur art ou de s’exposer à des poursuites judiciaires. Des centaines de milliers de femmes pourraient donc perdre leur gynécologue et si elles le conservent, elles pourront être certaines que celui-ci est aussi un avorteur.

Les associations pro-vie menacées

Les conséquences néfastes de la constitutionnalisation de l’avortement ne s’arrêteront pas là. En devenant une liberté constitutionnelle, le recours à l’« IVG » deviendra en quelque sorte un nouveau dogme républicain au même titre, par exemple, que le suffrage universel ou la laïcité. Contrevenir à ce dogme, ou simplement refuser d’y adhérer, exposera à l’accusation infamante de « séparatisme ».  

Les associations pro-vie seront bâillonnées voire carrément dissoutes. Les conséquences de cette chasse aux sorcières ne seraient pas seulement dramatiques pour la liberté d’expression… Les associations pro-vie étant les seules à proposer aux femmes enceintes des solutions concrètes pour garder leur bébé, ces dernières se retrouveraient avec le Planning familial pour seul interlocuteur. Des dizaines de milliers de petites vies supplémentaires pourraient donc être sacrifiées chaque année…


Commentaire : Tout ces assassins seront condamnés par DIEU, lors du jugement dernier !