Au prétexte de la compassion, les mauvaises dispositions vont pouvoir aller bon train. Des règles strictes vont encadrer ces pratiques, comme il avait été promis pour la Loi Veil, comme il avait été promis pour les lois Hollandaise et Belge.
Les dérives ont suivi, entraînant la banalisation de ces meurtres. Les soignants n’ont pas manqué de souligner que la prévention des suicides deviendrait compliquée, les suicidants disposant d’une solution facile et rapide. Comme les avortantes en détresse, dissuadées de demander des aides sociales. Le Canada connait des euthanasies pour manque de moyens financiers.
Chez nous, comme l’ont souligné de nombreuses voix, c’est le sentiment de gêner l’entourage, l’impression que tout le monde attend l’occasion d’en finir, qui va motiver les demandes.
Une loi sur l’aide au suicide serait une incitation au suicide, quand bien même toute personne aurait accès aux soins palliatifs, ce qui est très loin d’être le cas, bafouant ainsi le principe d’égalité.
Jean Pira
Tout ces assassins échappent à la justice humaine, mais lors du jugement dernier ils ne pourront pas se justifier et ce qui les attend, c'est le feu éternel !
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