On parle beaucoup de la nourriture BIO et du respect de l'environnement.
Alors je vous parle aujourd'hui de la pureté spirituelle.
je vais en choquer beaucoup, mais j'estime que mon devoir est de vous dire la Vérité.
Pierre
On parle beaucoup de la nourriture BIO et du respect de l'environnement.
Alors je vous parle aujourd'hui de la pureté spirituelle.
je vais en choquer beaucoup, mais j'estime que mon devoir est de vous dire la Vérité.
Pierre
1 - Votre enfant a une déficience de mercure, d’aluminium, de formaldéhyde, de virus, d’ADN étranger ou d’autres ingrédients dont il a été prouvé qu’ils étaient responsables de lésions neurologiques.
2 - Votre enfant a un excès de cellules cérébrales en bon état de fonctionnement.
3 - Vous avez besoin d'argent. Le programme national d'indemnisation des traumatismes liés aux vaccins a versé 4,8 milliards de dollars aux parents d'enfants blessés ou décédés des suites d'un vaccin.
4 - Vous et votre conjoint vous sentez aliénés et vous avez besoin d'une crise pour vous réunir.
5 - Vous estimez que les conglomérats pharmaceutiques qui gagnent des milliards en vaccins sont plus crédibles que les groupes de consommateurs.
6 - Vous pensez que des milliers de parents qui rapportent que leur enfant est devenu autiste deux semaines après la vaccination mentent.
7 - Vous ne voyez pas de problème de logique lorsque le gouvernement vous dit que les vaccins fonctionnent, mais que les enfants vaccinés peuvent attraper des maladies d’enfants non vaccinés.
8 - Vous pensez que le gouvernement devrait dicter les méthodes de guérison que vous et vos enfants êtes autorisés à utiliser.
- Alan V. Schmukler
Commentaire de Pierre :
Confiez-vous en DIEU plutôt que dans les hommes !
Le placenta affecté par le tabac même en cas d'arrêt de la cigarette avant la grossesse
Marlène Thomas
Une étude française, publiée ce mercredi, montre pour la première fois que le tabagisme peut avoir des conséquences lors d'une grossesse, même si la femme a arrêté de fumer.
Une énième preuve des conséquences néfastes du tabac sur la santé des femmes enceintes et de leurs enfants. Si la survenue d’une grossesse est souvent une motivation pour arrêter la cigarette, une étude française publiée dans la revue médicale britannique BMC Medecinece mercredi montre «pour la première fois que la consommation de tabac, même lorsqu’elle est stoppée avant la grossesse, peut avoir des conséquences sur le placenta».
Pour parvenir à cette conclusion, des chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de l’université Grenoble-Alpes (UGA) ont étudié l’ADN placentaire de 568 femmes réparties en trois catégories : non fumeuses, ayant arrêté de fumer dans les trois mois précédant la grossesse ou ayant continué à fumer avant et pendant leur grossesse.
Malgré une prise de conscience croissante des risques associés au tabagisme pour la mère et l’enfant, entre 5% et 20% des femmes continuent de fumer pendant leur grossesse aux Etats-Unis et en Europe, un chiffre qui s’élève à 17% en France. Ce tabagisme est «la cause évitable la plus fréquente d’issues défavorables de la grossesse», souligne l’étude en citant notamment le décollement placentaire, le placenta praevia (mal placé), l’accouchement prématuré, ou encore certaines anomalies congénitales. A long terme, fumer en étant enceinte est aussi associé à des effets néfastes sur «la santé respiratoire et cardiométabolique, le développement neurologique et le cancer de l’enfant».
«Mémoire épigénétique»
Si ces risques sont bien connus, les mécanismes moléculaires en jeu le sont moins. Les chercheurs ont observé dans cette étude que 178 régions du génome placentaire présentaient des altérations «épigénétiques» chez les fumeuses.
«L’épigénétique correspond à l’étude des
changements dans l’activité des gènes, n’impliquant pas de modification de
la séquence d’ADN et pouvant être transmis lors des divisions
cellulaires», explique l’Inserm. Ces modifications sont induites par notre
environnement au sens large et notamment notre alimentation, le stress, le
tabac, etc. Réversibles, elles provoquent toutefois des changements dans
la manière dont les gènes s’expriment. Si ces altérations épigénétiques sont
moindres chez les anciennes fumeuses, les chercheurs en ont tout de même
identifié dans 26 régions du génome placentaire.
Commentaire de Pierre :
Si vous voulez être délivrée de la dépendance au tabac, adressez-vous à un couple de vrais serviteurs de DIEU qui prieront pour votre libération.
Officiellement, la défense de l’environnement est devenue LA PRIORITE des
PRIORITES.
Sur les plateaux télévisés, les responsables politiques sortent les violons : «
nous faisons le maximum contre les pesticides, nous allons interdire le
glyphosate, protéger les abeilles,favoriser l’agriculture bio »…
Mais en coulisses, ils font EXACTEMENT LE CONTRAIRE. Avec une mauvaise
foi insensée…
Une multinationale allemande de l’agriculture chimique a même essayé de faire
interdire…le bicarbonate de soude3
!!!
Mais à quoi « jouent » ces gens ?
Que veulent-ils alors que l’horloge tourne, et que l’heure de l’urgence
écologique a sonné depuis longtemps.
Temporiser. Gagner du temps. Comme l’ont fait en leur temps les industries du
tabac ou de la malbouffe, avec l’appui des gouvernements.
Si nous n’agissons pas, combien de temps ce « petit jeu » va-t-il se poursuivre
?
Combien de temps vont-ils continuer à se dire « écolos » le matin, et à
massacrer le vivant tout le reste de la journée ?
Et l’explosion du nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer
?
Et la maladie de Parkinson, qui est reconnue comme maladie
professionnelle chez les agriculteurs depuis 2012, avec un lien de causalité
établi entre cette maladie et l'usage des pesticides6 ?
Et la stérilité croissante de milliers de jeunes adultes, en particulier
dans les régions agricoles7 ?
Et l’augmentation de malformations congénitales, comme ces bébés nés sans
bras.
Et le nombre de cancers qui explosent ? Avec là-aussi des études qui
soulignent une augmentation du cancer de la prostate de 40 % chez les
hommes exposés au DDT et aux pesticides organochlorés9.
Il n’est pas tolérable que les autorités ne tiennent pas leurs engagements.
Car elles continuent en ce moment même à nous tenir un double discours :
Devant les journalistes, les responsables ont beau jeu d’évoquer le « monde
d’après » le coronavirus…
Car en douce, le ministère de l’Agriculture vient d’autoriser que les distances
de sécurité entre les habitations et les pulvérisations de pesticides soient
réduites au minimum possible, dès le début de la saison des épandages.
Le tout sans concertation, comme le prévoit pourtant la loi.
Aujourd’hui, il est donc autorisé de verser des pesticides jusqu’à trois
mètres des habitations pour les cultures basses comme les céréales et les
légumes !!!
C’est
la preuve ultime, s’il en manquait, que l’inaction publique ne doit plus être
tolérée.
Il faut en finir avec les produits chimiques qui martyrisent la nature et nous
rendent malades.
Gabriel Combris
Comment
en est-on arrivé là ???
Autrefois,
c’était le contraire.
Le pain
était considéré comme l’aliment le plus sain, voire sacré. C’était
l’aliment guérisseur par excellence.
Ce pain
qui permit aux peuples de résister
à toutes les famines, les guerres, les épidémies pendant
des millénaires, malgré l’absence d’antibiotiques.
On nous
dit que ce n’est plus possible.
Ce
serait (soit-disant) trop cher de produire un pain fait avec des blés
anciens, moulu sur une meule de pierre, avec du levain naturel et une cuisson
traditionnelle...
Les blés
anciens de Mésopotamie n’avaient que 14 chromosomes (contre 46 pour les blés
hydrides modernes).
Ils
poussaient sur des sols pauvres, sans glyphosate ni pesticides.
Surtout,
ils ne supportaient
pas les engrais. Ils produisaient aussi, c’est logique, dix
fois moins que les blés actuels de la Beauce. Et les récoltes étaient soumises
aux aléas du climat, des maladies, des rongeurs et des insectes.
Le blé était moissonné à la serpe, puis battu
avec des fléaux en bois, enfin vanné à la main (pour séparer le grain de la
bâle, c’est-à-dire l’enveloppe).
Le grain était moulu délicatement,
sur de grandes meules de silex qui tournaient très lentement. Cela évitait d’échauffer
le grain et produisait une farine grasse, pleine de nutriments (aujourd’hui,
les moulins séparent les farines et suppriment le germe et le son).
Encore plus important, la farine
fraîche était mélangée à une eau de source pure, sans chlore.
Car en
effet, le levain transforme
la farine, l’eau et le sel, en une substance vivante et nourrissante.
La
fermentation est plus lente qu’avec la levure de boulanger : 36 heures contre 6
heures.
Cette
fermentation réduit la teneur en gluten et en acide phytique (anti-nutriment)
du pain. Elle permet donc de diminuer
les problèmes digestifs et les intolérances.
Un bon
levain donne au pain un goût acidulé délicieux, qui vient renforcer le goût
brioché des farines anciennes comme le blé de khorasan, et réduit drastiquement
le besoin de sel (le pain traditionnel contient 10 g de sel par kilo de farine,
contre 30 g pour la baguette parisienne !!).
C’est ce
patient travail qui permet au boulanger de faire un pain riche, nourrissant, à
la mie serrée, et qui se conserve plus d’une semaine grâce à son taux
d’hydratation plus élevé.
Jean-Marc Dupuis
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