Faut-il revoir la définition du mot « médicament » ?
Quand je
vois la nocivité de certains, je me demande si leur but est vraiment
d’améliorer notre santé.
Parmi
ceux-ci, j’ai sélectionné pour vous les 5 médicaments les plus dangereux,
ceux qu’il faut éviter autant que possible.
Bien sûr, je
vous donne aussi des alternatives 100 % naturelles, et garanties
sans effets secondaires.
1. La pilule préférée… des suicidaires
La méthode
la plus utilisée par les personnes qui veulent se suicider, c’est l’ingestion
de paracétamol.
Il faut dire
que le paracétamol est l’un des médicaments les plus vendus, et aussi l’un des
plus mortels :
Chaque boîte
contient une dose létale de paracétamol.
C’est la
première cause d’hospitalisation pour insuffisance hépatique aiguë, qui
nécessite une greffe de foie… Une étude d’observation menée en Grande-Bretagne
dans un service de transplantation du foie a montré que 66 % des patients
avaient été admis à la suite d’une overdose de paracétamol.
Pour éviter
d'en arriver là, il est donc indispensable de prendre quelques
précautions.
Paracétamol ne devrait pas rimer avec alcool
Le
paracétamol ne doit jamais être utilisé lorsque le foie est fatigué : par
exemple après une soirée arrosée, ou en parallèle à d'autres traitements nocifs
pour le foie (les statines, par exemple).
Les doses
maximales utilisables devraient également être revues à la baisse : une
méta-analyse montre que les personnes qui prennent du paracétamol aux doses
conseillées (0,5 à 1 g toutes les 4 à 6 heures) voyaient une
augmentation de 23 % du risque de mortalité. Ce risque grimperait même à
63 % si les patients ont plusieurs prescriptions rapprochées dans le
temps.
Dans la
famille des antidouleurs, les AINS ne font pas beaucoup mieux que le
paracétamol.
Ils sont
peut-être moins toxiques pour le foie que le paracétamol, mais ils le sont
beaucoup plus pour les reins…
Et pire
encore : on sait depuis 2005 qu’ils multiplient par deux le risque
d’infarctus du myocarde.
En
mai 2013, The Lancet, une des revues médicales les plus réputées au
monde, a publié une méta-analyse de plusieurs études sur les risques
des AINS.
L’étude a
montré que la fréquence des accidents cardiovasculaires est 30 % plus
élevée chez les consommateurs de coxibs et de diclofénac.
L’ibuprofène augmenterait également le risque dans une moindre mesure. Quant au
naproxène, il augmenterait davantage les problèmes intestinaux (perforations,
obstructions, saignements) que les autres AINS testés.
Mais ce
n’est pas tout : les AINS ont encore d’autres effets secondaires, peu ou
pas évoqués : dépendance, perméabilité intestinale, ralentissement du
développement musculaire…
Soulager la douleur par le toucher
Pour vous
aider à soulager la douleur autrement, je vous donne un aperçu des
meilleures approches naturelles validées par la littérature
scientifique :
- Cervicalgies : les techniques de massage
soulagent nettement la douleur à court terme, en plus d’apaiser l’anxiété
et d’améliorer la qualité de vie.
- Migraines et céphalées
sévères : la
relaxation est la technique la plus efficace pour espacer la fréquence des
crises et diminuer l’intensité des douleurs.
3. Comment doubler votre risque de mourir
Avec les
somnifères, il ne faudrait jamais dépasser 4 semaines de traitement.
Mais en
pratique, ces recommandations sont rarement respectées.
Conséquences :
amnésie, perte de conscience, troubles de la mémoire, dépendance, etc. Les
somnifères pourraient même accélérer l’évolution d’Alzheimer si la durée
du traitement dépasse six mois.
Une étude
parue dans le British Medical Journal vient de montrer que les
somnifères peuvent multiplier par deux le risque de mourir chez les
consommateurs plus ou moins réguliers.
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